Les Fantasmes sans Tabous
Aujourd’hui, comme chaque semaine, je vais voir Myriam. C’est une jeune fille de 18 ans qui éprouve quelques difficultés à se passionner pour les maths. J’arrive chez elle en peu en avance : il est 17h45 et le cours doit commencer à 18h.
C’est sa mère qui vient m’ouvrir. C’est une femme d’environ 40 ans, brune, les cheveux longs. Elle est légèrement ronde et possède une poitrine phénoménale : de vraies pastèques. Son visage, cependant est très fin. Je dirais même qu’elle est belle.
En tous cas, à peine la porte est-elle ouverte que je reste bouche bée. Devant moi, la mère de Myriam porte une espèce de robe noire dont le haut est quasiment transparent avec un décolleté énorme qui laisse voir une bonne partie de sa généreuse poitrine.
- Bonjour madame LAGARDE.
- Bonjour Franck. Comment vas-tu ? Entre donc, ne reste pas dehors sous la pluie.
Tu es en peu en avance.
- Ce n’est pas grave. Je vais attendre.
- Tu n’as vraiment pas de chance !! Exceptionnellement, Myriam est chez son père. Elle aura du retard.
- Ah bon ? Et vous savez combien de temps ?
- Je pense environ une heure. Si tu ne peux pas attendre, ce n’est rien. On reportera à la prochaine fois.
Je n’avais rien de spécial après les cours. En plus, madame LAGARDE a beaucoup de conversation.
- Si ça ne vous dérange pas, je vais l’attendre.
- Ok pas de problème.
Je vous avoue que pendant ce petit dialogue, je n’ai cessé de reluquer le cul de cette maman. Je suis décidemment un vrai obsédé. Mais le pire arrive. Elle se retourne vers moi :
- Tu veux boire quelque chose ?
- Euh…..oui…….un coca svp….
A travers la transparence de sa robe, j’ai nettement vu les auréoles de ses seins. Elles sont toutes roses et d’une taille en adéquation avec le reste de la poitrine. C’est une catastrophe, je n’arrive pas à en décrocher le regard. Je sens qu’elle va le remarquer et je…
- Hum, hum…….voila ton coca.
Et voila j’ai du me faire attraper.
- Excuse moi pour cette tenue un peu spéciale mais il fait tellement chaud malgré la pluie.
- Euh…..quoi…..euh……non….
- Ne t’en fais pas, je dirais rien à personne.
Sur ce nous commençons à discuter ; des progrès de sa fille, de mes études, de son travail (Nadège LAGARDE travaille dans une banque), de l’actualité. Durant tout ce temps, je dois faire des efforts surhumains pour ne pas mater ses seins. 50 minutes avant l’arrivée supposée de Myriam, elle me demande si je peux lui rendre un service.
Elle me demande donc de la suivre et nous arrivons dans la chambre d’ami, situé à l’étage. Elle se retourne, me regarde droit dans les yeux et me sort :
- Tu sais ça fais maintenant 10 ans que je suis divorcée
- Euh…..oui….
- Et depuis mon mari, je n’ai pas eu beaucoup d’hommes…. Et je voulais savoir si tu pouvais me rendre ce petit service…
- Euh……
- Je t’ai vu tout à l’heure, tu regardais mes seins. Ils te plaisent ?
- Euh…oui….mais….
- Alors fais-moi l’amour !!!! Tout de suite !!!
Elle me colle la tête entre ses deux immenses mamelles et gémit déjà de plaisir.
- Madame LAGARDE, attendez !!!
- Quoi ? Tu ne me désires pas peut-être ? Vu la bosse dans ton pantalon, je penses plutôt que tu as très envie de moi.
- Puis-je vous prendre en photo alors ? Après vous ferez de moi ce que vous voulez…
- Ok, mais à une condition, je ne veux pas qu’on voit mon visage.
Une fois la photo prise, elle me dit :
- Mon Dieu qu’il fait chaud ici !!
Elle fait alors glisser sa robe, me révélant ainsi une poitrine gigantesque. Je me jette sur ces mamelles, les lèche, les suce, mordille les tétons plus durs que jamais. Quel bonheur que d’enfouir mon visage dans ses seins chauds et gonflés.
Pendant ma petite séance de dégustation, ma main remonte le long de sa cuisse, caressant sa peau douce. J’arrive enfin au niveau de son entrejambe. La culotte de dentelle noire est elle aussi transparente et je peux voir à travers que madame LAGARDE à une chatte magnifique, épilée juste comme il le faut. Je fais passer mon doigt sur sa vulve déjà trempée tout en me noyant encore et toujours au milieu de sa poitrine.
- Viens par là mon petit chéri…. Fais moi hurler…
Alors elle recule et s’allonge sur le matelas du lit de la chambre d’ami et écarte délicatement ses jambes.
Excité comme un fou, je sort ma queue, la recouvre d’une capote et m’approche de ce corps de femme mûre transpirant de désir.
Doucement, je décale sa culotte, ne prenant pas le temps de l’ôter et la pénètre d’un seul coup, mais en savourant chaque centimètre gagné sur son intimité.
Je lui relève les jambes et commence à la pilonner comme si ma vie en dépendait. Sous chaque coup de boutoir ses seins tressautent, ne m’excitant que davantage.
- Oh oui !!! Plus fort, vas-y…. J’en ai tellement envie !!! BAISE-MOI !!!!
- Je vais te baiser plus fort que tu n’as jamais imaginé….
- C’est bon !!! c’est bon !!!!
Tout en accentuant mes mouvements, je me disais : « elle est vraiment bonne cette maman !! Une vraie salope !!! Et elle en veut la chienne…..
Soudain, elle pousse un hurlement et se cambre si brusquement que je suis contraint de me retirer.
- Qu’est ce qui se passe madame LAGARDE ? Vous n’en pouvez déjà plus….
- Quel pied !!! Mon Dieu c’est trop bon…. Approche-toi.
Elle se redresse, enlève la capote, prends ma bite et l’avale d’un seul coup. Le fait de sentir sa langue – apparemment experte – sur mon membre me fait l’effet d’une bombe. Pour ne pas tomber, je dois m’appuyer contre le mur. Pendant ce temps, elle continue de me sucer, avalant entièrement ma bite à chaque fois et aspirant le jus. Cette pipe mémorable ne s’arrête que de temps à autre lorsqu’elle décide de bien lécher mes bourses. Enivré de plaisir, je mets ma main dans ses cheveux, accompagnant le mouvement de sa tête.
Je sens que je vais jouir…
- Oh Nadège, continue….. tu vas me faire jouir !!!
Je ne tiens plus et me décharge dans sa bouche. Que c’est bon. Elle ne stoppe pas tout de suite sa fellation, voulant me vider les couilles jusqu’au bout.
Je me retire. Elle me regarde en souriant, attrape l’appareil photo et me le tends.
Au moment de prendre la photo, elle fait ressortir le foutre qu’elle avait en bouche, celui-ci dégoulinant sur son menton.
Je profite de cette vue on ne peut plus merveilleuse quand le bruit de la porte d’entrée se fait entendre.
Merde !!! Voilà la fille qui arrive.
Je me rhabille en vitesse, Nadège faisant de même et nous allons au-devant de Myriam.
Nous la croisons dans la cuisine, en train de se servir un verre de jus d’orange.
Ce n’est qu’en la suivant dans sa chambre que je remarque que le menton de Nadège est encore maculé de sperme….
Franck L