L'histoire de Sophie et Franck

Sophie et moi nous sommes rencontrés il y a quelques semaines. Nous avons décidé de raconter cette histoire à quatre mains. C’est un souvenir fabuleux….

 

Franck (1):

 

Après de nombreux échanges par mail et téléphone, nous décidons enfin de nous rencontrer.

Je réserve une chambre dans le meilleur hôtel de la ville et te donne rendez-vous ce vendredi à 17 h.

Je suis déjà sur place depuis une heure, lorsque j’entends tes pas devant la porte. Je vois ton ombre sous la porte…. tu sembles hésiter.

Je me lève et ouvre la porte. Après un léger sursaut de surprise :

« Bonjour Franck

- Bonjour Sophie… entre…. »

Tu te tiens devant moi, vêtue d’une robe rouge à bretelles qui moule ta poitrine de façon divine, et qui laisse entrevoir ton dos par un immense décolleté arrière. Cette robe est courte et mon regard se baisse vers tes jambes. Tu portes des bas noirs qui rendent tes jambes interminables.

Sous l’effet de l’excitation, tes seins pointent fortement sous ta robe et les tétons sont nettement apparents. Tout en me regardant droit dans les yeux, tu fais glisser tes bretelles : d’abord la gauche, puis tu te retournes en enlevant la droite. Ta robe tombe à tes pieds et tu me tournes le dos. Tu ne portes pas de soutien-gorge et de mon point de vue, ta petite culotte se résume à une ficelle qui disparaît entre tes fesses. Je m’approche de toi et je commence par embrasser tes épaules nues.

Ta peau est douce et sucrée, je m’enivre de ton parfum.

Mon sexe devient dur et je me presse contre ton cul pour que tu sentes mon désir à travers mes vêtements.

Ta respiration m’indique que tu aimes sentir mon pieu contre toi…

Lentement ma main remonte le long de ton bras et viens enserrer ton sein. Sa pointe est dure et la sensation de ma paume sur ton téton ne fait que m’enflammer davantage.

Sans cesser de t’embrasser la nuque, mes mains se plaquent maintenant sur tes fesses… La sensation est divine. Ma main droite remonte sur ton ventre pendant que l’autre caresse ton string, là où il est le plus fin….

« Oui, caresse-moi… »

Maintenant, mes deux mains s’occupent de ta généreuse poitrine et ton souffle se fait de plus en plus haletant.

Ta main se pose sur mon sexe bouillonnant et tu commences à défaire ma ceinture…

 

Sophie (1) :

 

Ma main glisse sous ta ceinture, et je la défais aussi vite que possible. La bosse que je sens sous le tissu est des plus prometteuses… Ton pantalon tombe à terre, et je sens ta bite hors de ton caleçon. Tu bandes tellement qu’il n’a pas pu te contenir. Ton gland est chaud, humide sous ma paume. Tu m’aides à te débarrasser du superflu. Je sens alors dans ma main ton organe entier, long, épais comme j’aime. Tu es dur, une vraie barre d’acier. Cette sensation a le don de m’exciter encore plus. Ma liqueur coule le long de mes cuisses.

Tu continues de malaxer fermement mon sein, tout comme j’aime. Ton autre main glisse le long de mon ventre, pour atteindre le mont de venus totalement épilé. Je sais que tu aimes ça, je t’ai fait ce plaisir… Je sens ta queue dure contre mes fesses. Je ne peux m’empêcher d’onduler du bassin pour mieux te coller à moi, m’exciter d’avantage. Mes jambes tremblent de désir…

L’une de tes mains reprend sa descente vers mon bas-ventre. Puis, la pulpe de tes doigts caresse le mont de vénus parfaitement lisse, et enfin, enfin, s’égare en haut de ma fente trempée. Un sursaut d’excitation me secoue à nouveau, l’attente est terrible, presque douloureuse, tant j’attends ta caresse plus directe.

Tu amorces ma délivrance en glissant un index curieux le long de mon clito bien bandé. Tu tournes autour, j’écarte les jambes, pour que tu accèdes mieux à mon bouton d’amour, avide de toi.

De mon coté, je ne reste pas inactive, malaxant ta bite bien raide, la faisant coulisser dans ma main. Tu mouilles, elle glisse bien. Tu es chaud, dur, puissant, je sens que je vais aimer ce pieu de chair. Te branler me donne encore plus envie de toi, si c’est possible…. Ton souffle s’accélère dans mon cou.

Nous sommes tous les deux au bord de la rupture. Tu délaisse à regret ma chatte humide, et tu me fais pivoter. Enfin, nous sommes face à face. Après quelque secondes d’une hésitation nouvelle, nous nous embrassons comme deux assoiffés au milieu du désert.

 

Franck (2) :

 

Nos langues se mêlent dans ce fougueux baiser. Tes lèvres sont douces, sucrées et ta langue habile. Tout en t’embrassant, ma main redescend vers ton trésor. Tes cuisses sont trempées, et ta cyprine inonde rapidement mes doigts, facilitant leur passage en toi…

Mon index explore ton antre. Tu es chaude, je sens tes tétons durcis contre mon torse. Tu ondules du bassin pour mieux me sentir en toi, tu gémis… Un deuxième doigt se perd dans ta chatte si belle. Tu me regardes dans les yeux, ton souffle se fait plus court, tu me chuchote :

« Fais-moi jouir…. »

Je me penche vers tes seins, mes doigts continuant l’exploration de ton sexe. Ma langue passe sur un téton, puis sur l’autre. Tu m’encourages en plaquant mon visage sur ta poitrine. Je me perds dans tes seins, je les lèche, mordille doucement tes tétons, ma langue passe de l’un à l’autre sans connaître de répit.

Pendant ce temps, j’accélère le mouvement de mes doigts. Ta vulve est mouillée comme je l’ai rarement vu !! Je sens tes muscles se contracter, tes hanches bouger plus vite. Tu sembles apprécier ce traitement, mais cela ne me suffit pas….

En même temps que mes deux doigts continuent de te pénétrer, mon pouce vient titiller ton joli clito, gonflé de désir.

Tu laisses échapper un petit cri :

« Oooh Franck, oui comme ça !!

- Laisse-toi aller Sophie… Tes seins sont si bons !! »

Je suis perdu entre ses deux monts du bonheur, pas une seule partie n’a échappé à ma bouche et je m’attarde maintenant sur tes aréoles brunes

Mes doigts rentrent de plus en plus profondément dans ta vulve gonflée, et mon pouce te caresse de plus en plus vite….

Tu gémis, respires de plus en plus fort. Soudain, ma main se retrouve inondée de ta liqueur, tu te cambres au maximum, et ton cri de jouissance emplit toute la pièce…

Tu plaques ton corps au mien. Ma bite est collée à ton ventre, elle palpite de désir…

Tu te laisses tomber sur le lit, tu étends ta jambe et pose ton pied sur mon membre prêt à exploser…

 

Sophie (2) :

 

Cette grande jouissance m’a coupé le souffle. Le temps de reprendre mes esprits et ma respiration, je caresse ta bite dure de mon orteil. J’ai joui, mais je n’en n’ai pas assez. Mes lèvres gonflées appellent un membre plus gros que tes doigts pour les forcer et les faire exploser.

Petit à petit, je rampe vers ton bâton d’amour, qui palpite et m’attire irrémédiablement… je veux te sentir au fond de moi, m’empaler et sentir ce pieu fiché en moi. Au passage ma langue vient butiner ton gland humide et gonflé. Je lape la petite goutte qui perle au bout, délicieux prémices du plaisir à venir... J’engloutis brièvement ce beau chibre pointé vers le ciel, pour bien le lubrifier. Pourtant, vu comme ma chatte coule de ma jouissance récente, je n’en n’ai guère besoin !

Je te sens tressauter dans ma bouche, heurter ma gorge. Tu es gros, trop gros pour ma petite bouche. Je te laisse sortir, un filet de salive continue de relier ta bite à mes lèvres.

Il est vite rompu par mon mouvement de reptation, pour me mettre à tes pieds. Je te veux en levrette, pour te sentir au plus profond de moi. Tu te redresses, te positionne derrière moi. Je me suis mise à genoux, la tête posée sur le lit, le cul en l’air, ouvert, offert à tes yeux brillants d’excitation. Je suis là, totalement ouverte pour toi. Tu passes un doigt sur ma rosette, qui frémit d’envie sous cette caresse…. Tu y pointes ta langue, pour continuer de m’exciter. Je n’en peux plus : JE VEUX QUE TU ME BAISES          !!!!

Je te le crie : « Franck, vas-y défonce-moi !!! Prends-moi, laboure mon cul !!! »

C’est comme si j’avais lâché les vannes. Sans plus aucune précaution, tu t’enfiles brutalement dans mon con détrempé. Je bascule sous la brusque poussée, mais je me redresse, pour mieux sentir ta bite me baiser à fond.

 

Franck (3) :

 

Tu es divine !!! Je regarde ton corps subir mes assauts, je sens tes seins se balancer…

Je me retire et fais glisser ma bite entre tes fesses. Quel délice…

Je présente mon sexe devant ta chatte ruisselante et te pénètre doucement, lentement….

« Franck… Prends-moi comme une bête !!! Baise-moi à fond !!! »

Ta luxure m’excite encore plus et mes mouvements se font rapides, puissants, presque violents… Ton sexe est si mouillé que ma queue te transperce sans aucune difficulté… Dieu que tu es bonne !!

Tout en continuant de te ravager le vagin, mon index s’introduit dans ton anus si appétissant.

« Oui… Comme ça… Je te sens bien bien… Mmumhh…

- Tu me rends dingue ma belle…. Oooh ta chatte !!! C’est bon !! »

Ta tête s’enfonce dans le lit sous mes coups de boutoir, mais tu en redemandes et mes efforts redoublent…. Tu es si belle, si désirable dans cette position, soumise, offerte, je ne vais plus pouvoir tenir.

Mais je ne veux pas encore jouir : je veux te baiser encore, t’entendre hurler !! Je me retire donc de ton corps, mais ma bite est vite remplacée par ma langue….

Tu gémis de plaisir lorsque je m’attaque à ton clitoris gonflé de désir. Je l’aspire, le lèche, l’embrasse…. puis ma langue passe sur tes lèvres et je goûte enfin ta cyprine directement à la source. Je te lèche goulûment, mon visage se perd en toi…

« Occupes-toi de mon cul… »

Je suis à tes ordres, et ma langue glisse sur ta fleur, déjà bien dilatée par mon doigt.

Tu ondules pour mieux ouvrir ton antre et tu diriges ta main entre tes cuisses pour te caresser.

Pendant que ma langue explore ton petit trou, je sens ta liqueur couler sur mon menton. Tu gémis de plus en plus fort, étouffant même des cris dans les draps…

J’ôte mon visage de tes fesses et contemple ton anus ouvert, appelant à être défoncé…

« Cambre-toi bien Sophie, je veux que tu sentes ma queue au plus profond de ton cul !!! »

 

Sophie (3) :

 

Sans plus attendre, je t’obéis, pour mieux sentir ton gros mandrin envahir mon intimité la plus secrète… Je sens le gland hypertrophié se poser contre ma rosette, et forcer un peu, doucement. Dans un petit mouvement sec, tu forces le passage… J’ondule mon bassin, pour mieux accompagner ta lente et délicieuse progression. Centimètre après centimètre, tu progresses dans mon étroit conduit, qui épouse parfaitement ton membre imposant. Enfin, je sens tes couilles gorgées de jus d’amour heurter mon clito.

Dans un mouvement de balancier, tu le masse en le heurtant. Mes doigts les accompagnent. Je jouis une nouvelle fois, ma chatte déborde de cyprine qui mouille le drap. J’attrape le gode resté à porté de main, et me l’enfonce d’un coup brutal dans ma chatte avide. Il vire au maximum. Je suis en fion pleine, mes deux orifices comblés. Toi, chaud et vivant dans mon cul dilaté, le vibro, dur et mouvant qui excite mes chairs excitées. Une dernière jouissance m’emporte au 7ème ciel, je jouis en hurlant comme si ma vie en dépendait. Le vibro continue à me lancer des ondes qui m’électrisent et me font presque souffrir, tant l‘orgasme est fort et violent…Je finis par le retirer, à bout de force. Je suis à la limite de perdre connaissance…

Je m’agite tellement sur ton membre planté dans mon cul que tu ne peux te retenir. Je sens une contraction forte, et un jet libérateur vient inonder mes intestins. Tu me remplis de ta crème épaisse et chaude… Dommage, je ne vais pas pouvoir la manger….

Nous retombons comme des pantins désarticulés, épuisés par cette jouissance intense, hors du commun. Il nous faudra plus d’une heure pour reprendre nos esprits, et recommencer à faire l’amour, mais moins sauvagement… La nuit fut fabuleuse…

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