CONFESSIONS

Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 15:58

Salut à tous!!!

Désolé de cette interminable absence!!!

 

Mais me revoilà.....avec plein d'idées!!!!

Des photos, des vidéos, des concours, et des histoires....

En voici d'ailleurs une, pour commencer en douceur.

 

Laissez des coms, ça me motive énormément!!! Et n'hésitez pas à m'envoyer vos propositions, photos, récits....

 

A bientôt

 

 

 

 

Voici une petite histoire qui m’est réellement arrivé, il y a maintenant près de 4 ans.

A l’époque je venais d’être diplômé et je travaillais depuis bientôt 3 mois dans l’entreprise qui m’avait accueilli lors de mon dernier stage.

Je sortais avec une fille depuis 3 ans ; Claire.

Régulièrement, on se retrouvait toujours avec les mêmes amis pour se faire un resto, une sortie en boîte ou juste une soirée chez l’un ou l’autre…

Il y avait donc : Julien (éternel timide), Marion (la « bonne » copine, avec qui on ne va jamais plus loin), Martial (le « fou » du groupe), sa copine Maude, Emma (mon amie la plus proche dans le groupe) et son mari Pierre, Claire et moi-même.

Donc, un soir de printemps, on a décidé de faire un resto et de finir la soirée dans un « bar-boîte » qu’on connaissait bien.

Je vous raconte donc cette soirée :

Le dîner est vraiment génial. On rit beaucoup, mange bien et le vin est un délice : une bonne soirée. Tout le monde a réussi à se libérer et a envie d’évacuer le stress de la semaine.

Comme à son habitude, Martial fait des trucs débiles, et Pierre et Emma n’arrêtent pas de se faire les yeux doux et de se bécoter. Ces deux-là sont vraiment fous amoureux et se sont mariés un mois seulement après la remise des diplômes.

Une seule chose me trouble : Emma est très attirante, belle et sexy. Une jolie poitrine, pas très grosse mais bien proportionnée, une taille fine mais de superbes hanches lui moulant un corps aux courbes féminines au possible. Il se trouve que ce soir, elle a mis une sorte de chemisier très léger et très fin rouge avec un décolleté plutôt sympathique et un tout petit short noir en toile qui épouse merveilleusement ses formes. J’avoue que je jette de (trop ?) nombreux regards vers ses seins, pendant une grande partie du repas.

On se décide à quitter le resto pour aller dans notre boîte habituelle, mais Julien nous propose de changer de bar car il en découvert un super, bien qu’un peu loin. Pour une fois, qu’il propose quelque chose, tout le monde accepte. Reste à voir comment s’y rendre.

Martial et Maude sont venus en moto, Pierre et Emma en voiture et les autres en transports en commun. Nous sommes donc six pour une seule voiture…

Pas de problème pour nous ! Pierre va chercher la voiture et viens nous récupérer devant le restaurant.

Claire étant souvent malade en voiture, nous la laissons monter devant. Du coup, à l’arrière, Julien se met derrière Pierre, Marion se cale au milieu car elle est la plus petite et je m’installe derrière ma copine. Reste Emma. Pierre lui lance « T’as qu’à te mettre sur les genoux de quelqu’un… »

Et voilà qu’Emma arrive vers moi et se pose sur mes genoux…. Nous y voilà.

Comme le trajet est long, on essaye de s’installer le mieux possible. Emma également. Et là je sens ses fesses se coller à mes cuisses, la chaleur de son corps, son parfum…

Je pense que les mecs voient venir le problème. Je commence à repenser à son décolleté, ses jambes, ses hanches, si proches de moi… et je sens arriver une belle érection, bien comme il faut. J’essaye de lutter mais rien n’y fait, je bande.

Ca va être ma fête !! La honte internationale !!

Je me prépare au déluge de rires, de cris et de gêne…mais rien ne se passe.

Du coup de bande de plus en plus, ne pouvant m’empêcher de penser au corps d’Emma et de l’imaginer entièrement nue.

Pierre s’engage sur l’autoroute et demande si tout va bien à l’arrière, si tout le monde est bien installé. On rigole un coup, vu la manière dont nous sommes serrés et Emma râle contre la petite taille de la voiture et commence à remuer. Son cul se déplace et je sens ma bite se déplacer et venir se positionner juste entre ses deux fesses !!! Elle s’installe « confortablement » sans rien dire !

Impossible que dans cette position elle ne sente pas mon pieu raide. Malgré la honte je suis encore plus excité et ma queue prend des proportions assez importantes dans mon caleçon.

Et là…. Emma commence à faire de petits mouvements de bassin, quasi imperceptibles à l’œil, mais totalement divin à mon niveau…. Je dois rêver.

Je sens ses fesses épouser la forme de mon sexe en érection, l’envelopper de plaisir. Elle continue son déhanchement…

Petit à petit, ce mouvement se transforme en vraie branlette. Ma bite a trouvé sa place et Emma continue son manège.

Ca y est je prends carrément mon pied. Putain c’est bon !! Presque dans un état second, ma main droite remonte doucement et vient se poser sur le côté de la cuisse de mon amie. Comme elle ne porte pas de collants, je suis directement au contact de sa peau…

Soudain, elle me prend discrètement la main et la serre très fort. On dirait qu’elle apprécie ce trajet autant que moi. Le moment est assez irréel.

Personne ne remarque notre manège et Emma continue de me chauffer comme un dingue. Elle relâche ma main et la plaque sur sa cuisse. Je démarre de lentes et discrètes caresses…. Ses fesses continuent de me branler en douceur. Son petit short est si fin !! Je n’ai qu’une envie, lui prendre les seins et titiller ses tétons, mais je ne peux rien faire !!

Soudain, j’ai plus chaud et je sens monter en moi l’apogée. Emma s’appuie de plus en plus fort sur ma verge, tout en continuant son mouvement de bassin.

Quel plaisir….Oh oui !!

Je serre sa jolie cuisse de ma main et, en étouffant un râle, cette petite coquine me fait jouir ! J’éjacule une bonne dose de sperme directement dans mon caleçon. Elle a senti sa victoire et stoppe son petit jeu. Je conserve néanmoins ma main sur sa cuisse tout le long du trajet.

Une fois arrivé à destination, tout le monde sort de la voiture et s’étire, en pestant un peu sur l’étroitesse du véhicule.

Emma prend la main de Pierre, l’embrasse et dit en me jetant un petit regard complice : « Au final, il était pas si long ni si désagréable ce trajet. »

Rien d’autre ne s’est passé durant le reste de la soirée si ce n’est qu’en rentrant à la maison, j’ai vite pris une douche et en repensant à cette « aventure », j’ai fait l’amour à Claire, comme une bête. Je n’ai jamais couché avec Emma, même si d’autres petites péripéties ont pu se passer…

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : CONFESSIONS - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Lundi 23 août 1 23 /08 /Août 14:26

Bonjour à tous!!!!

 

Après une si longue absence, me revoila..... Malheureusement, le temps me manque cruellement.

Donc, dorénavant, mes histoires seront publiées sur le site de mon amie SOPHIE de R. (allez visitez son blog dans mes liens!!!).

Mais je continuerais à poster des vidéos, des contributions et des photos, je l'espère, pour votre plus grand plaisir!!!

A bientôt!!

 

Franck

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : CONFESSIONS - Communauté : les blogs persos
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Mardi 2 mars 2 02 /03 /Mars 17:14

Je vous écris aujourd'hui pour vous raconter une petite confession personnelle.
Voilà quelques semaines, nous sommes allés passer quelques jours chez mes beaux-parents.
Ma belle-mère n'est pas franchement une bombe sexuelle....pas moche, mais pas vraiment attirante non plus.
Mais voilà que je la découvre avec environ 3 ou 4 kilos de moins... et vous dévinez la suite...
Je l'ai tout de suite regarder différemment... Ses seins ressortaient plus, son cul me faisait plus envie...
Je m'imaginais sous la douche. Elle entre dans la salle de bains, me rejoins et je la sodomise violemment en tirant sur ses tétons gonflés.... et je lui fait gober ma queue pour décharger tout mon foutre directement dans sa bouche....
Je me suis branlé sous la douche en pensant à ce scénario....
L'apogée est intervenu le dernier jour. Le linge propre séchait dans la maison et ses petites culottes et soutiens étaient offerts à ma vue de pervers!!!! Un joli soutif violet en dentelle a fait exploser ma verge!!!
Et le final....avant de repartir, nous avons mangés tous ensemble. Elle portait un chemisier rose dont le dernier bouton était ouvert. Tout le repas, j'ai maté le haut de son soutien gorge qui apparaissait dans le décolleté et la dentelle que je pouvais voir entre les boutons du chemisier....
Vivement, la prochaine visite!!!


Ca vous est déjà arriver de fantasmer sur votre belle-mère, belle soeur, beau père?
Racontez nous ça!!!

Franck L.

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : CONFESSIONS - Communauté : FEMMES MATURES, ON VOUS AIME
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Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 17:46

Voici de nouveau de jolis dessous sur lesquels je craque....
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Ca vous plaît? Si vous êtes excité, n'hésitez pas à les dédicacer de votre fluide!!!!
A bientôt


Franck L.

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : CONFESSIONS
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Mercredi 25 novembre 3 25 /11 /Nov 09:16
Voici un texte écrit par SOPHIE DE R. Un lien ves son blog est disponible sur cette page....

Hier, il faisait encore très chaud dans notre beau pays. je décidais d’aller me baigner dans une crique, pas très loin de chez moi. En Guyane, une crique, c’est un petit fleuve, une rivière. On peut s’y baigner sans danger, même si nous sommes au cœur de l’Amazonie. L’eau y est plus fraiche que dans la mer ou les piscines, elle oscille entre 25 et 26°. Pour ici, c’est frais !

Je m’y rends donc, avec un peu la crainte qu’il y ait beaucoup de monde. Mais divine surprise, pas une voiture à l’entrée du layon (le chemin d’accès.)

 

En effet, en arrivant sur place, je constate que les grandes pierres plates qui servent de plage sont désertes. Je pose mes affaires, dans un coin un peu plus reculé, pour être tranquille, au cas où…

Je me baigne avec bonheur dans l’eau verte. Des poissons glissent entre mes orteils. Je goute le plaisir de me balancer à une grande liane, et de me jeter dans l’eau. Contrairement à mon habitude, j’ai mis un maillot. Mais vu qu’il n’y a personne, je l’enlève, le passe à mon bras, et continue ma baignade totalement nue. Après tout, il n’y pas âme qui vive !

Après un bon moment de baignade, je vais m’allonger sur les pierres. Je sens leur chaleur tiédir mon corps, à travers la serviette. Le soleil est fort, mais tamisé par les feuilles des ficus géants. Ici, ils mesurent au bas mot trente mètres de haut.

Et comme souvent quand je me sens bien, je finis par laisser glisser main vers mon intimité. Mes lèvres sont gonflées d’un désir latent, pas encore très fort, mais bien présent. Je laisse mes doigts caresser mon petit bouton, qui durcit vite sous ma caresse. Le désir s’amplifie, mais je n’ai pas mon petit gode, qui me sert en cas d’urgence. Tant pis, je ferai avec main !

 

J’en suis là de mes pensées, quand j’ai la nette impression qu’on m’observe. J’ouvre légèrement les yeux, et je vois à quelques mètres de moi, sur l’autre rive, un homme, éclairé par le soleil qui décline. Il me fixe, debout. J’ai un mouvement de pudeur. Je le vois mal. Mes yeux se réhabituent à la lumière, et je constate qu’il tient entre ses mains un objet long et raide.

Non, je ne rêve pas, il bande. Et il tient son sexe dans sa main. Je ne crois pas en ma chance ! Alors que j’ai une envie de plus en plus furieuse de baiser, un bel homme est là, devant moi. Il n’est pas très grand, râblé, les bras bien musclés. Il est taillé en V, le crane rasé, et semble dépourvu de tout poil. Le rêve pour moi !

 

Il me sourit, je le lui rends avec complicité. Je me tourne un peu vers lui, de façon à ce qu’il me voie mieux. Enfin, qu’il voie mieux ma chatte excitée. Il acquiesce d’un mouvement de tête, et commence à faire glisser sa main sur sa queue, que je devine bien épaisse. Elle n’est pas immense, mais elle me fait déjà saliver.

Je ne suis pas en reste. J’écarte d’une main mes lèvres bien humides, et de l’autre, je me caresse, passe mes doigts du clito à l’intérieur du vagin, mes mouvements d’accélèrent, les siens aussi, il se masse les couilles d’une main, de l’autre, branle vigoureusement sa belle bite, astique copieusement son gland décalotté et brillant.

 

Ce spectacle, un de ceux que je préfère, ne tarde pas à faire son effet. Je jouis sous mes propres caresses, inondant mes doigts de ma liqueur. Mon voyeur ne manque pas de le voir, et me lance : « Dommage d’avoir perdu ce précieux liquide… je peux venir vous rejoindre ? »

Sa voix est grave et profonde, elle me charme encore plus. Je fais « oui » de la tête, encore incapable de parler, sous le coup de mon, orgasme.

 

Il saute dans la crique, la traverse rapidement, le chibre toujours bien serré dans on poing. En quelques secondes, il est là, près de moi. Je ne m’étais pas trompée : c’est un beau mec, en tout cas, selon mes critères. Ses yeux rient de plaisir.

« Marco, ravie de vous rencontrer, belle dame. Ce n’est pas tous les jours qu’on voit une belle femme nue dans cette crique. Et avec une aussi belle et grosse coucoune (chatte, en créole.) »

 

Je rougis un peu sous le compliment et le lui retourne : « Marco, c’est un plaisir de faire la connaissance d’un homme qui aime mater et s’exhiber. Nous sommes faits pour nous entendre ! »

 

Nous rions tous les deux, mais je ne peux m’empêcher de fixer son bel engin, toujours raide de désir. Il me dit alors : « Tu as joui une fois, mais toute seule, je veux te faire jouir, moi… Que veux-tu que je fasse pour ça ? »

 

Quel homme, un vrai fantasme vivant ! Je lui réponds que je veux sa langue, sa langue dans ma coucoune. Prestement, il s’allonge sur le coté, pour ne pas blesser sa belle queue, et sans hésiter le moins du monde, écarte mes lèvres en grand, et enfourne sa langue au plus profond de mon vagin. Son organe semble immense. Il  me fouille, ne laisse aucun endroit non visité, s’aventure sur mon petit trou, qui frémit de plaisir sous cette divine caresse. Décidément très attentif à mes réactions, il enfonce délicatement un doigt lubrifié dans ma rosette, qui s’ouvre sans peine face à cet intrus. Et il continue avec le geste que j’attendais : il insère son pouce dans ma chatte. Il me fait ce que je nomme une « pince : un doigt dans chaque trou.

Il les bouge en rythme, me labourant gentiment les deux orifices. Et comme s’il répondait à ma dernière attente, il enroule sa langue sur mon clito dressé. Ce traitement de choc ne tarde pas à faire effet : je jouis, sans me retenir cette fois. Au diable d’éventuels intrus. Je crie mon plaisir à la cime des arbres. Une foule de colibris prend son envol, sans doute affolés par mon vacarme !

Je jouis tant que ma serviette est trempée d’un flot de cyprine comme j’en ai rarement eu. Il faut dire que tout est réuni pour ça : le cadre, le soleil, l’eau, le voyeur, qui devient mon baiseur, baiser avec un inconnu bien membré…

Tout y est pour une excitation maximale !!!

 

Il se redresse, toujours aussi bandé. Je m’assieds, et me penche vers cette belle bite qui me nargue depuis tout à l’heure. Je l’embouche brusquement, sans prévenir. Il m’emplit la bouche, son gland aplatit ma langue, et me coupe la respiration. Il est vraiment massif. Je sens que je vais adorer me faire prendre...

 

En attendant, je l’aspire, le lèche, le déguste comme une glace... Je mordille son frein, le gros gland rouge… Je gobe ses grosses couilles bien pleines, je masse le gros sexe avec fermeté.

Mais Marco suspend mon geste : » T’as une capote ? Je veux te baiser ! »

J’acquiesce, le lâche à regret et attrape mon, sac. J’ai toujours des capotes sur moi. J’aime me faire sauter, mais je ne veux pas être malade !

 

Il la prend, la déroule prestement, l’enduit du gel à ma demande.

« Mets-toi à quatre pattes, je veux voir ton cul bien offert. »

Je ne me fais pas prier, j’adore cette position. Je roule une autre serviette sous les genoux, pour ne pas avoir mal sur les pierres dures. Et surprise, quand je me mets en levrette, je vois juste devant moi, dans les herbes aquatiques, un autre mec, qui nous mate tranquillement. Je me tourne vers Marco, qui me dit sans attendre que j’ouvre la bouche : « C’est mon pote Thierry. Il aime mater. Tu veux bien ? Si tu veux, il te caresse aussi. Mais bon, comme il bande difficilement, tu ne lui feras rien… »

Comment refuser une telle proposition ???

 

Le Thierry en question s’approche, et c’est vrai qu’il ne bande pas. Sa bite pend, flasque sur ses cuisses. D’une main, il tente pourtant de lui donner de la vigueur, de l’autre, il saisit mes un de mes seins, et le malaxe fermement. Mes pointes durcissent, et cela accroit encore mon excitation…

 

Marco se met derrière moi, me pénètre avec force, mais sans me faire mal. Depuis le temps que j’attends de me faire prendre…. Il commence ses va et viens doucement, puis plus rapidement. Ses grosses couilles lisses battent contre mon clito. Je demande à Thierry de me branler en même temps. Il obéit aussitôt. Marco lui ordonne d’un ton sec : « Masse aussi mes boules, pédé ! »

 

Je suis un peu surprise par la teneur de son propos. Thierry obtempère, et je sens ses doigts agiles qui me titillent le clito. Marco me tient fermement les hanches, me besogne la chatte bien profondément. Je ne peux m’empêcher de lui crier : « Vas—y, baise-moi, défonce-moi, déchire ma chatte, j’en crève… »

 

Pour toute réponse, il accélère le mouvement et enfonce à nouveau un doigt dans mon cul offert à lui. Thierry me branle aussi de plus en plus vite. Pour la troisième fois en quelques minutes, je jouis à m’en rompre les cordes vocales.

 

Mais Marco n’a pas joui… Je continue donc à danser sur son pieu. J’ouvre les yeux, et je constate que son copain bande maintenant un peu.

Mais sans que je m’y attendre, Marco sort de ma chatte, ôte la capote, se lève, et va enfourner sa bite encore plus grosse dans la gorge de son copain !

 

J’hallucine, là !!! Thierry ne bronche pas, il doit avoir manifestement l’habitude. Il lui baise la bouche comme il me défonçait il y quelques secondes à peine. Thierry se branle, il bande de plus en plus. Je vois le corps de Marco s’arquer, ses abdos en tablettes de chocolat se contractent, il enfourne sa queue jusqu’a la garde dans la bouche qui suffoque. Cette dernière se crispe sur le membre qui le force, et il a un hoquet. Le foutre qui lui a rempli la gorge suinte de ses lèvres. « Avale, tout, lopette, avale ma crème »

Marco est brutal avec son ami.

 

Je suis un peu désarçonnée, mais le spectacle m’excite. Je ne peux m’empêcher de me branler encore. Marco sort son sexe encore raide de la bouche de l’autre, et me regarde en souriant : « Tu n’en n’as pas encore eu assez ? Alors, avec moi, et lui, tu es bien tombée ! »

Et, se tournant vers celui qui est visiblement son soumis, lui ordonne : « Va la lécher, tu verras, elle est bonne, et tu as intérêt à la faire jouir. Sinon… »

Ce dernier mot est menaçant…

 

Je m’allonge sur le dos, Thierry entre mes jambes. Il me suce, me lèche avec application, il est doué… Marco se branle à coté de moi. Puis il me dit : « Il te fait du bien chérie ? »

Je hoche la tête pour confirmer. Alors, il saisit la bite de Thierry, et la branle sans ménagement. Ce dernier se tortille sous l’assaut brutal. Il jouit très vite, projetant un faible jet de foutre sur la pierre chaude.

Marco, toujours aussi méprisant lui crie : « Tu jouis même comme un pédé impuissant. Je vais te donner ta leçon. Fais la jouir, et lève ton cul. »

Thierry se met à genoux très vite, et mon amant du jour lui enfonce la queue dans l’anus, comme ça, sans préparation. Thierry étouffe un cri de douleur puis ondule de la croupe, pire que moi ! Il aime ça, le salaud !

 

Me voilà dans l’une de mes positions préférées : bien léchée, et par un homme qui se fait enculer… Le rêve absolu. Pour la quatrième fois de l’après-midi, je jouis comme une folle. Marco jouit aussi, en criant des injures, cette fois-ci. Il sort des entrailles de Thierry, et lui présente sa bite à sucer : « Nettoie, et ne laisse rien ». Une fois de plus, ce dernier obéit.

 

Je les regarde, cette fois-ci, je suis assouvie... Enfin, je le pensais. C’est la première fois que je vois un deux hommes, maitre et esclave sexuel. Ca ne m’attirait pas vraiment comme scénario, mais là… ça m’excite diablement !

 

J’en fais part à Marco, qui ne perd pas le nord : « Si tu veux, chérie, on continue chez moi… » Comment refuser une telle proposition. ? Nous levons rapidement le camp, d’autant que des voix d’enfants nous arrivent : nous l’avons échappé belle ! Nous partons très vite, en croisant une belle famille qui vient se baigner…

 

Le reste de la journée, et une bonne partie de la nuit, nous avons baisé comme des sauvages, Marco était déchainé, moi très avide de sexe, et Thierry, très obéissant.

J’ai adoré !

Nous aussi!!!!!
Merci à Sophie.

Envoyez vos récits et fantasmes: kukaman2002@yahoo.fr

Franck L

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : CONFESSIONS
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