Partager l'article ! La délicieuse Sophie: Voici un texte écrit par SOPHIE DE R. Un lien ves son blog est disponible sur cette page.... Hier, il faisait encore ...
Hier, il faisait encore très chaud dans notre beau pays. je décidais d’aller me baigner dans une crique, pas très loin de chez moi. En Guyane, une crique, c’est un petit fleuve, une rivière. On peut s’y baigner sans danger, même si nous sommes au cœur de l’Amazonie. L’eau y est plus fraiche que dans la mer ou les piscines, elle oscille entre 25 et 26°. Pour ici, c’est frais !
Je m’y rends donc, avec un peu la crainte qu’il y ait beaucoup de monde. Mais divine surprise, pas une voiture à l’entrée du layon (le chemin d’accès.)
En effet, en arrivant sur place, je constate que les grandes pierres plates qui servent de plage sont désertes. Je pose mes affaires, dans un coin un peu plus reculé, pour être tranquille, au cas où…
Je me baigne avec bonheur dans l’eau verte. Des poissons glissent entre mes orteils. Je goute le plaisir de me balancer à une grande liane, et de me jeter dans l’eau. Contrairement à mon habitude, j’ai mis un maillot. Mais vu qu’il n’y a personne, je l’enlève, le passe à mon bras, et continue ma baignade totalement nue. Après tout, il n’y pas âme qui vive !
Après un bon moment de baignade, je vais m’allonger sur les pierres. Je sens leur chaleur tiédir mon corps, à travers la serviette. Le soleil est fort, mais tamisé par les feuilles des ficus géants. Ici, ils mesurent au bas mot trente mètres de haut.
Et comme souvent quand je me sens bien, je finis par laisser glisser main vers mon intimité. Mes lèvres sont gonflées d’un désir latent, pas encore très fort, mais bien présent. Je laisse mes doigts caresser mon petit bouton, qui durcit vite sous ma caresse. Le désir s’amplifie, mais je n’ai pas mon petit gode, qui me sert en cas d’urgence. Tant pis, je ferai avec main !
J’en suis là de mes pensées, quand j’ai la nette impression qu’on m’observe. J’ouvre légèrement les yeux, et je vois à quelques mètres de moi, sur l’autre rive, un homme, éclairé par le soleil qui décline. Il me fixe, debout. J’ai un mouvement de pudeur. Je le vois mal. Mes yeux se réhabituent à la lumière, et je constate qu’il tient entre ses mains un objet long et raide.
Non, je ne rêve pas, il bande. Et il tient son sexe dans sa main. Je ne crois pas en ma chance ! Alors que j’ai une envie de plus en plus furieuse de baiser, un bel homme est là, devant moi. Il n’est pas très grand, râblé, les bras bien musclés. Il est taillé en V, le crane rasé, et semble dépourvu de tout poil. Le rêve pour moi !
Il me sourit, je le lui rends avec complicité. Je me tourne un peu vers lui, de façon à ce qu’il me voie mieux. Enfin, qu’il voie mieux ma chatte excitée. Il acquiesce d’un mouvement de tête, et commence à faire glisser sa main sur sa queue, que je devine bien épaisse. Elle n’est pas immense, mais elle me fait déjà saliver.
Je ne suis pas en reste. J’écarte d’une main mes lèvres bien humides, et de l’autre, je me caresse, passe mes doigts du clito à l’intérieur du vagin, mes mouvements d’accélèrent, les siens aussi, il se masse les couilles d’une main, de l’autre, branle vigoureusement sa belle bite, astique copieusement son gland décalotté et brillant.
Ce spectacle, un de ceux que je préfère, ne tarde pas à faire son effet. Je jouis sous mes propres caresses, inondant mes doigts de ma liqueur. Mon voyeur ne manque pas de le voir, et me lance : « Dommage d’avoir perdu ce précieux liquide… je peux venir vous rejoindre ? »
Sa voix est grave et profonde, elle me charme encore plus. Je fais « oui » de la tête, encore incapable de parler, sous le coup de mon, orgasme.
Il saute dans la crique, la traverse rapidement, le chibre toujours bien serré dans on poing. En quelques secondes, il est là, près de moi. Je ne m’étais pas trompée : c’est un beau mec, en tout cas, selon mes critères. Ses yeux rient de plaisir.
« Marco, ravie de vous rencontrer, belle dame. Ce n’est pas tous les jours qu’on voit une belle femme nue dans cette crique. Et avec une aussi belle et grosse coucoune (chatte, en créole.) »
Je rougis un peu sous le compliment et le lui retourne : « Marco, c’est un plaisir de faire la connaissance d’un homme qui aime mater et s’exhiber. Nous sommes faits pour nous entendre ! »
Nous rions tous les deux, mais je ne peux m’empêcher de fixer son bel engin, toujours raide de désir. Il me dit alors : « Tu as joui une fois, mais toute seule, je veux te faire jouir, moi… Que veux-tu que je fasse pour ça ? »
Quel homme, un vrai fantasme vivant ! Je lui réponds que je veux sa langue, sa langue dans ma coucoune. Prestement, il s’allonge sur le coté, pour ne pas blesser sa belle queue, et sans hésiter le moins du monde, écarte mes lèvres en grand, et enfourne sa langue au plus profond de mon vagin. Son organe semble immense. Il me fouille, ne laisse aucun endroit non visité, s’aventure sur mon petit trou, qui frémit de plaisir sous cette divine caresse. Décidément très attentif à mes réactions, il enfonce délicatement un doigt lubrifié dans ma rosette, qui s’ouvre sans peine face à cet intrus. Et il continue avec le geste que j’attendais : il insère son pouce dans ma chatte. Il me fait ce que je nomme une « pince : un doigt dans chaque trou.
Il les bouge en rythme, me labourant gentiment les deux orifices. Et comme s’il répondait à ma dernière attente, il enroule sa langue sur mon clito dressé. Ce traitement de choc ne tarde pas à faire effet : je jouis, sans me retenir cette fois. Au diable d’éventuels intrus. Je crie mon plaisir à la cime des arbres. Une foule de colibris prend son envol, sans doute affolés par mon vacarme !
Je jouis tant que ma serviette est trempée d’un flot de cyprine comme j’en ai rarement eu. Il faut dire que tout est réuni pour ça : le cadre, le soleil, l’eau, le voyeur, qui devient mon baiseur, baiser avec un inconnu bien membré…
Tout y est pour une excitation maximale !!!
Il se redresse, toujours aussi bandé. Je m’assieds, et me penche vers cette belle bite qui me nargue depuis tout à l’heure. Je l’embouche brusquement, sans prévenir. Il m’emplit la bouche, son gland aplatit ma langue, et me coupe la respiration. Il est vraiment massif. Je sens que je vais adorer me faire prendre...
En attendant, je l’aspire, le lèche, le déguste comme une glace... Je mordille son frein, le gros gland rouge… Je gobe ses grosses couilles bien pleines, je masse le gros sexe avec fermeté.
Mais Marco suspend mon geste : » T’as une capote ? Je veux te baiser ! »
J’acquiesce, le lâche à regret et attrape mon, sac. J’ai toujours des capotes sur moi. J’aime me faire sauter, mais je ne veux pas être malade !
Il la prend, la déroule prestement, l’enduit du gel à ma demande.
« Mets-toi à quatre pattes, je veux voir ton cul bien offert. »
Je ne me fais pas prier, j’adore cette position. Je roule une autre serviette sous les genoux, pour ne pas avoir mal sur les pierres dures. Et surprise, quand je me mets en levrette, je vois juste devant moi, dans les herbes aquatiques, un autre mec, qui nous mate tranquillement. Je me tourne vers Marco, qui me dit sans attendre que j’ouvre la bouche : « C’est mon pote Thierry. Il aime mater. Tu veux bien ? Si tu veux, il te caresse aussi. Mais bon, comme il bande difficilement, tu ne lui feras rien… »
Comment refuser une telle proposition ???
Le Thierry en question s’approche, et c’est vrai qu’il ne bande pas. Sa bite pend, flasque sur ses cuisses. D’une main, il tente pourtant de lui donner de la vigueur, de l’autre, il saisit mes un de mes seins, et le malaxe fermement. Mes pointes durcissent, et cela accroit encore mon excitation…
Marco se met derrière moi, me pénètre avec force, mais sans me faire mal. Depuis le temps que j’attends de me faire prendre…. Il commence ses va et viens doucement, puis plus rapidement. Ses grosses couilles lisses battent contre mon clito. Je demande à Thierry de me branler en même temps. Il obéit aussitôt. Marco lui ordonne d’un ton sec : « Masse aussi mes boules, pédé ! »
Je suis un peu surprise par la teneur de son propos. Thierry obtempère, et je sens ses doigts agiles qui me titillent le clito. Marco me tient fermement les hanches, me besogne la chatte bien profondément. Je ne peux m’empêcher de lui crier : « Vas—y, baise-moi, défonce-moi, déchire ma chatte, j’en crève… »
Pour toute réponse, il accélère le mouvement et enfonce à nouveau un doigt dans mon cul offert à lui. Thierry me branle aussi de plus en plus vite. Pour la troisième fois en quelques minutes, je jouis à m’en rompre les cordes vocales.
Mais Marco n’a pas joui… Je continue donc à danser sur son pieu. J’ouvre les yeux, et je constate que son copain bande maintenant un peu.
Mais sans que je m’y attendre, Marco sort de ma chatte, ôte la capote, se lève, et va enfourner sa bite encore plus grosse dans la gorge de son copain !
J’hallucine, là !!! Thierry ne bronche pas, il doit avoir manifestement l’habitude. Il lui baise la bouche comme il me défonçait il y quelques secondes à peine. Thierry se branle, il bande de plus en plus. Je vois le corps de Marco s’arquer, ses abdos en tablettes de chocolat se contractent, il enfourne sa queue jusqu’a la garde dans la bouche qui suffoque. Cette dernière se crispe sur le membre qui le force, et il a un hoquet. Le foutre qui lui a rempli la gorge suinte de ses lèvres. « Avale, tout, lopette, avale ma crème »
Marco est brutal avec son ami.
Je suis un peu désarçonnée, mais le spectacle m’excite. Je ne peux m’empêcher de me branler encore. Marco sort son sexe encore raide de la bouche de l’autre, et me regarde en souriant : « Tu n’en n’as pas encore eu assez ? Alors, avec moi, et lui, tu es bien tombée ! »
Et, se tournant vers celui qui est visiblement son soumis, lui ordonne : « Va la lécher, tu verras, elle est bonne, et tu as intérêt à la faire jouir. Sinon… »
Ce dernier mot est menaçant…
Je m’allonge sur le dos, Thierry entre mes jambes. Il me suce, me lèche avec application, il est doué… Marco se branle à coté de moi. Puis il me dit : « Il te fait du bien chérie ? »
Je hoche la tête pour confirmer. Alors, il saisit la bite de Thierry, et la branle sans ménagement. Ce dernier se tortille sous l’assaut brutal. Il jouit très vite, projetant un faible jet de foutre sur la pierre chaude.
Marco, toujours aussi méprisant lui crie : « Tu jouis même comme un pédé impuissant. Je vais te donner ta leçon. Fais la jouir, et lève ton cul. »
Thierry se met à genoux très vite, et mon amant du jour lui enfonce la queue dans l’anus, comme ça, sans préparation. Thierry étouffe un cri de douleur puis ondule de la croupe, pire que moi ! Il aime ça, le salaud !
Me voilà dans l’une de mes positions préférées : bien léchée, et par un homme qui se fait enculer… Le rêve absolu. Pour la quatrième fois de l’après-midi, je jouis comme une folle. Marco jouit aussi, en criant des injures, cette fois-ci. Il sort des entrailles de Thierry, et lui présente sa bite à sucer : « Nettoie, et ne laisse rien ». Une fois de plus, ce dernier obéit.
Je les regarde, cette fois-ci, je suis assouvie... Enfin, je le pensais. C’est la première fois que je vois un deux hommes, maitre et esclave sexuel. Ca ne m’attirait pas vraiment comme scénario, mais là… ça m’excite diablement !
J’en fais part à Marco, qui ne perd pas le nord : « Si tu veux, chérie, on continue chez moi… » Comment refuser une telle proposition. ? Nous levons rapidement le camp, d’autant que des voix d’enfants nous arrivent : nous l’avons échappé belle ! Nous partons très vite, en croisant une belle famille qui vient se baigner…
Le reste de la journée, et une bonne partie de la nuit, nous avons baisé comme des sauvages, Marco était déchainé, moi très avide de sexe, et Thierry, très obéissant.
J’ai adoré !
Nous aussi!!!!!
Merci à Sophie.
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Franck L