Partager l'article ! Corinne: Mon meilleur pote s’appelle Thomas FLORENT. On se connaît depuis l’école primaire et on est toujours restés ...
Mon meilleur pote s’appelle Thomas FLORENT. On se connaît depuis l’école primaire et on est toujours restés très proche. En raison de ses études, il a un appart à Nantes et il ne rentre que de temps en temps, généralement en période de vacances universitaires.
Il m’avait contacté la semaine précédente pour me dire qu’il serait en ville pour une semaine et qu’il arrivait le samedi en début d’après-midi. Il était convenu que je le retrouve chez ses parents, Edith et Jean-Paul, vers 17h. Ces derniers habitent une maison assez sympa et pas trop loin du centre ville. Généralement, ils vivent seuls mais depuis 3 mois, Corinne, la sœur aînée de Thomas, est de retour chez les parents à la suite de son divorce.
Elle a 35 ans je crois et son mariage a à peine duré plus de deux ans. Etant donné que plus jeune je passais énormément de temps chez Thomas, je connais assez bien Corinne, même si on ne « traînait » pas vraiment avec elle vu la différence d’âge.
Le samedi en question, je me pointe donc comme prévu chez mon pote. Il m’avait prévenu que ses parents étaient partis en voyage et je ne m’étonne donc pas du fait qu’aucune voiture n’est garée devant la maison. Corinne ne doit pas être là car elle travaille dans l’hôtellerie, secteur où les week-ends ne sont pas toujours chômés.
Le temps est catastrophique pour la saison : il fait froid et il pleut à torrents.
Je sonne, complètement trempé de mon trajet de la voiture à la porte d’entrée et attends que l’on vienne m’ouvrir. Rien ne se passe… Au bout de mon troisième essai, je me dis que l’avion de Thomas à dû prendre du retard… mais combien ? Je prends mon téléphone et j’appelle sur son portable. Comme je le pensais, son avion a pris beaucoup de retard et il m’annonce qu’il sera là dans 1h30 à 2h00 :
- Ecoute Franck, regardes dans le grand pot de fleur bleu à gauche de la porte. Il doit y avoir le double des clés. Tu n’as qu’à m’attendre à l’intérieur, je fais aussi vite que je peux.
Ses renseignements sont exacts et je me saisis des clés et entre dans la maison. Je fais bien attention à ne pas tout mouillé et décide d’attendre Thomas dans sa chambre. Celle-ci est située au grenier, qu’il a pu aménager comme il le souhaitait. Avant de me rendre là-haut, je fais un détour par la salle de bain, histoire de me sécher un peu.
En passant devant la chambre d’ami, il me semble entendre de petits bruits qui paraissent être étouffés. La porte étant entrouverte, je jette un œil à l’intérieur de la pièce. J’avoue que je ne m’attendais pas à ce spectacle :
Corinne est sur le lit, couchée sur le ventre, uniquement vêtue d’une nuisette (ou d’un t-shirt) noire, remontée bien au-dessus des hanches. Je ne vois pas son visage car il est enfoui dans l’oreiller, ce qui explique l’étouffement des sons. Avec sa main droite, elle s’enfonce délicatement un petit gode et se tortille de plaisir en gémissant doucement.
Bien sûr, lorsque j’étais plus jeune – disons vers 14 ans – je fantasmais beaucoup sur Corinne qui avait
alors 25 ans. Mais cela faisait un bail que je ne la regardais plus de manière sexuelle. Physiquement elle est pas mal du tout, plutôt bien foutue.
Elle n’est pas très grande avec des cheveux bruns lui retombant sur les épaules et des yeux d’un brun très foncé. Son visage, quant à lui, est parsemé de délicieuses petites tâches de rousseur.
Vous vous en doutez bien, l’espionner dans ses petits jeux personnels me fait bander comme un fou. Je ne vais
pas résister longtemps à l’envie de me branler en la regardant se donner du plaisir.
J’ai quand même la présence d’esprit de sortir mon appareil photo afin d’immortaliser ce moment de son intimité.
Une fois la photo dans la boîte, je continue à mater tout en me caressant la bite à travers mon pantalon. Le désir monte en moi jusqu’à atteindre des sommets inimaginables. La coquine continue de se masturber et ses gémissements se font de plus en plus audibles.
Et là, c’est le drame. Mon putain de téléphone portable se met à sonner… la honte. Je me dépêche de le trouver pour arrêter cette maudite sonnerie mais il est trop tard.
- Mais qui est là !!! Oh merde !! Espèce de voyeur !!!
Je m’éloigne de la porte en courant ne sachant pas si elle m’a reconnu. Je l’entends crier derrière moi. En voulant aller trop vite, je me prends les pieds dans un tapis et je me vautre magnifiquement au milieu du couloir. Maintenant c’est sûr, elle va m’attraper…
- Vous êtes qui ? Je vais appeler les fli…. Franck !?!? Qu’est-ce que tu fous là bordel !!
- Je suis désolé, je voulais pas…. C’est Thomas qui m’a dit que je pouvais entrer….
- Et tu t’es senti obligé de m’espionner ?! P’tit pervers !!
Malgré les remontrances, je ne peux pas m’empêcher de la reluquer. Elle porte une robe de chambre mauve, assez longue et marche pieds nus. Ses pieds sont superbes ; l’excitation me regagne petit à petit. Je n’entends même plus ce qu’elle dit.
Je ne tiens plus. Je décide de tenter le tout pour le tout : soit elle me jette comme un malpropre, soit je sens que je vais bien m’amuser.
Je me relève et je m’approche d’elle doucement. Son odeur est envoûtante, épicée et attractive.
- Qu’est-ce que tu fous ?
- Je me demande ce qu’il y a sous ce peignoir… d’après ce que j’ai vu tout à l’heure tu as l’air plus qu’appétissante…
Elle devient alors complètement rouge. Je pense qu’elle ne sait plus comment réagir. Je me lance à fond : je défais le nœud de sa robe de chambre et je la fais tomber sur le sol. Elle a remis sa nuisette noire correctement. Les bretelles sont fines et elle est particulièrement courte. Le tissu est si fin, qu’à travers, on aperçoit ses tétons déjà dressés, attendant qu’on s’occupe d’eux. Immédiatement je saisis de main droite son sein.
Apparemment, sa poitrine est d’une taille honorable, assez ferme, bref : appétissante. Doucement, je relève sa chemise de nuit et je découvre alors une chatte bien excitante. Elle est bien taillée mais les poils sont assez longs.
Une fois le vêtement au niveau de ses épaules, je me colle tout contre elle et je plaque mes mains sur son cul, que j’entreprends de malaxer avec conviction.
- Je ne sais pas s….
- Tais-toi.
Je commence à me prendre au jeu d’une légère domination sur Corinne. Je me baisse et lui mange littéralement les seins. Je les lèche à pleine langue passant du droit au gauche ; je ressemble plus à une bête en rut qu’à un homme. A chaque changement de « mamelle », je lui frappe les fesses. D’abord très doucement puis de plus en plus fort. Apparemment, ce type de sexualité ne lui est pas familier – à moi non plus d’ailleurs.
Mais très vite, ses faibles protestations se transforment en authentiques encouragements :
- Vas-y ! Lèche-les à fond…. Oh mon dieu c’est bon !! Oui fesse-moi encore… espèce de pervers !!
Je la repousse alors et dit :
- Mets-toi à genoux…
Elle s’exécute et déboutonne mon pantalon. Elle sort ma queue et…. Soudain, j’entends quelque chose, comme un bruit de porte. Merde !! C’est Thomas !!! En un éclair, mon sexe passe de raide comme un piquet à l’état de saucisse molle.
- Qu’est-ce qui te prends ?
- T’as pas entendu la porte !!! Relève-toi !
- Mais non !! C’est Garfield, le chat !!! Il est rentré par la chatière.
Je la regarde d’un air peu convaincu.
- Tu veux jouer les dominateurs, mais t’as rien dans le caleçon. Je vais voir si je peux arranger ton cas…
En faisant le moins de bruit que possible, je sors mon appareil photo pour la prendre avec ma bite dans sa bouche.
- C’est quoi ça ?!
- (Merde raté !) Je voulais juste te prendre en photo…
- Laisse ça de côté.
Sur ce, elle avale complètement ma queue et grâce à ses savants coups de langue, la rigidité de mon membre devient presque phénoménale.
Ses lèvres sont douces et leur contact avec mon gland maintenant turgescent est incroyablement bon.
Elle alterne le léchage de mes couilles bien remplies avec une pipe effrénée ; à chaque fois ma bite
disparaît entièrement dans sa bouche. Je lui caresse les cheveux. Ils sont soyeux, doux…
Petit à petit, j’accompagne de ma main le mouvement de sa tête :
- Oh….Corinne, continue…. Aspire-la bien ! Comme ça oui…
Cette petite gâterie dure encore quelques minutes, puis elle se lève, me tourne le dos, commence à s’éloigner et me jette un regard plus qu’évocateur style « suis-moi…. ».
Tout en regardant son joli petit cul, je la suis dans la chambre. Elle s’allonge sur le lit, écarte les cuisses et glisse délicatement un doigt dans sa fente apparemment bien humide.
- Fais-moi jouir… fais-moi crier…
- Tes désirs sont des ordres.
Elle retire sa main et me la tend. Sans hésiter, je lèche ses doigts imprégnés de liqueur intime.
De ma main droite, je commence à lui caresser doucement la vulve….c’est une véritable inondation là en bas !! Sans rencontrer la moindre résistance, je lui enfonce deux doigts : sa chatte est chaude et dilatée grâce à ses exploits « godesques » de tout à l’heure.
Ma queue est maintenant une vraie barre de métal, j’en ai presque mal.
- Prends-moi ! Te retiens pas, pénètre moi profondément….
Lentement, j’enfonce ma bite en elle. Je savoure chaque centimètre gagné sur son intimité. Après quelques va-et-vient, je décide de passer à la vitesse supérieure ; elle respire de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle me regarde droit dans les yeux alors que mon mouvement s’accélère encore…
Désormais je lui assène de grand coup de boutoir, à chaque fois mon bassin vient « frapper » son petit cul et sa chatte si accueillante. Mes aïeux quel pied !!!
Je suis à genoux sur le lit, je lui maintiens les jambes en l’air, je la baise comme un fou… sa chatte est trempée et je devine ses gros seins qui ballottent sous la chemise de nuit.
Je ne tiens plus d’excitation. Je ne sais pas si vous avez connu ce genre de ressenti ; je ne peut pas
m’arrêter, je ne suis plus tout à fait moi-même, je la « bourre » de toutes mes forces, vraiment aussi fort que je le peut…
- Oh Franck….baise-moi……oui…….Aaaaaaaaahhhhhhhhh !!!!!!!!!
Elle pousse un hurlement, se tortille frénétiquement en se mordant la main. Je donne tout ce que j’ai pour prolonger son plaisir…je sens que je ne vais plus tenir longtemps….
Assourdi par mon plaisir je me retire un peu trop tard et je décharge une bonne partie de mon foutre dans sa chatte en feu….
Elle semble épuisée, presque évanouie. J’en profite pour prendre mon appareil et immortaliser l’instant.
Je passe dans la salle de bain pour me rafraîchir et je repense à ce qui vient de se passer. Je suis un peu honteux vis-à-vis de mon pote mais heureux d’avoir pu baiser (c’est le terme approprié)
sa sœur…
Mon téléphone sonne :
- Franckie, c’est Tom. Je suis là dans 5 minutes.
- Je t’attends. Je suis chez toi.
- T’as pas attendu trop longtemps ?
- Non, ta sœur est là, elle m’a tenu compagnie…
- Ca marche à toute !
- A toute.
Derniers Commentaires