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Jeudi 3 décembre 4 03 /12 /Déc 17:28

 

Mon meilleur pote s’appelle Thomas FLORENT. On se connaît depuis l’école primaire et on est toujours restés très proche. En raison de ses études, il a un appart à Nantes et il ne rentre que de temps en temps, généralement en période de vacances universitaires.

Il m’avait contacté la semaine précédente pour me dire qu’il serait en ville pour une semaine et qu’il arrivait le samedi en début d’après-midi. Il était convenu que je le retrouve chez ses parents, Edith et Jean-Paul, vers 17h. Ces derniers habitent une maison assez sympa et pas trop loin du centre ville. Généralement, ils vivent seuls mais depuis 3 mois, Corinne, la sœur aînée de Thomas, est de retour chez les parents à la suite de son divorce.

Elle a 35 ans je crois et son mariage a à peine duré plus de deux ans. Etant donné que plus jeune je passais énormément de temps chez Thomas, je connais assez bien Corinne, même si on ne « traînait » pas vraiment avec elle vu la différence d’âge.

Le samedi en question, je me pointe donc comme prévu chez mon pote. Il m’avait prévenu que ses parents étaient partis en voyage et je ne m’étonne donc pas du fait qu’aucune voiture n’est garée devant la maison. Corinne ne doit pas être là car elle travaille dans l’hôtellerie, secteur où les week-ends ne sont pas toujours chômés.

Le temps est catastrophique pour la saison : il fait froid et il pleut à torrents.

Je sonne, complètement trempé de mon trajet de la voiture à la porte d’entrée et attends que l’on vienne m’ouvrir. Rien ne se passe… Au bout de mon troisième essai, je me dis que l’avion de Thomas à dû prendre du retard… mais combien ? Je prends mon téléphone et j’appelle sur son portable. Comme je le pensais, son avion a pris beaucoup de retard et il m’annonce qu’il sera là dans 1h30 à 2h00 :

-          Ecoute Franck, regardes dans le grand pot de fleur bleu à gauche de la porte. Il doit y avoir le double des clés. Tu n’as qu’à m’attendre à l’intérieur, je fais aussi vite que je peux.

Ses renseignements sont exacts et je me saisis des clés et entre dans la maison. Je fais bien attention à ne pas tout mouillé et décide d’attendre Thomas dans sa chambre. Celle-ci est située au grenier, qu’il a pu aménager comme il le souhaitait. Avant de me rendre là-haut, je fais un détour par la salle de bain, histoire de me sécher un peu.

En passant devant la chambre d’ami, il me semble entendre de petits bruits qui paraissent être étouffés. La porte étant entrouverte, je jette un œil à l’intérieur de la pièce. J’avoue que je ne m’attendais pas à ce spectacle :

Corinne est sur le lit, couchée sur le ventre, uniquement vêtue d’une nuisette (ou d’un t-shirt) noire, remontée bien au-dessus des hanches. Je ne vois pas son visage car il est enfoui dans l’oreiller, ce qui explique l’étouffement des sons. Avec sa main droite, elle s’enfonce délicatement un petit gode et se tortille de plaisir en gémissant doucement.

Bien sûr, lorsque j’étais plus jeune – disons vers 14 ans – je fantasmais beaucoup sur Corinne qui avait alors 25 ans. Mais cela faisait un bail que je ne la regardais plus de manière sexuelle. Physiquement elle est pas mal du tout, plutôt bien foutue.

Elle n’est pas très grande avec des cheveux bruns lui retombant sur les épaules et des yeux d’un brun très foncé. Son visage, quant à lui, est parsemé de délicieuses petites tâches de rousseur.

Vous vous en doutez bien, l’espionner dans ses petits jeux personnels me fait bander comme un fou. Je ne vais pas résister longtemps à l’envie de me branler en la regardant se donner du plaisir.

J’ai quand même la présence d’esprit de sortir mon appareil photo afin d’immortaliser ce moment de son intimité.

Une fois la photo dans la boîte, je continue à mater tout en me caressant la bite à travers mon pantalon. Le désir monte en moi jusqu’à atteindre des sommets inimaginables. La coquine continue de se masturber et ses gémissements se font de plus en plus audibles.

Et là, c’est le drame. Mon putain de téléphone portable se met à sonner… la honte. Je me dépêche de le trouver pour arrêter cette maudite sonnerie mais il est trop tard.

-          Mais qui est là !!! Oh merde !! Espèce de voyeur !!!

Je m’éloigne de la porte en courant ne sachant pas si elle m’a reconnu. Je l’entends crier derrière moi. En voulant aller trop vite, je me prends les pieds dans un tapis et je me vautre magnifiquement au milieu du couloir. Maintenant c’est sûr, elle va m’attraper…

-          Vous êtes qui ? Je vais appeler les fli…. Franck !?!? Qu’est-ce que tu fous là bordel !!

-          Je suis désolé, je voulais pas…. C’est Thomas qui m’a dit que je pouvais entrer….

-          Et tu t’es senti obligé de m’espionner ?! P’tit pervers !!

Malgré les remontrances, je ne peux pas m’empêcher de la reluquer. Elle porte une robe de chambre mauve, assez longue et marche pieds nus. Ses pieds sont superbes ; l’excitation me regagne petit à petit. Je n’entends même plus ce qu’elle dit.

Je ne tiens plus. Je décide de tenter le tout pour le tout : soit elle me jette comme un malpropre, soit je sens que je vais bien m’amuser.

Je me relève et je m’approche d’elle doucement. Son odeur est envoûtante, épicée et attractive.

-          Qu’est-ce que tu fous ?

-          Je me demande ce qu’il y a sous ce peignoir… d’après ce que j’ai vu tout à l’heure tu as l’air plus qu’appétissante…

Elle devient alors complètement rouge. Je pense qu’elle ne sait plus comment réagir. Je me lance à fond : je défais le nœud de sa robe de chambre et je la fais tomber sur le sol. Elle a remis sa nuisette noire correctement. Les bretelles sont fines et elle est particulièrement courte. Le tissu est si fin, qu’à travers, on aperçoit ses tétons déjà dressés, attendant qu’on s’occupe d’eux. Immédiatement je saisis de main droite son sein.

Apparemment, sa poitrine est d’une taille honorable, assez ferme, bref : appétissante. Doucement, je relève sa chemise de nuit et je découvre alors une chatte bien excitante. Elle est bien taillée mais les poils sont assez longs.

Une fois le vêtement au niveau de ses épaules, je me colle tout contre elle et je plaque mes mains sur son cul, que j’entreprends de malaxer avec conviction.

-          Je ne sais pas s….

-          Tais-toi.

Je commence à me prendre au jeu d’une légère domination sur Corinne. Je me baisse et lui mange littéralement les seins. Je les lèche à pleine langue passant du droit au gauche ; je ressemble plus à une bête en rut qu’à un homme. A chaque changement de « mamelle », je lui frappe les fesses. D’abord très doucement puis de plus en plus fort. Apparemment, ce type de sexualité ne lui est pas familier – à moi non plus d’ailleurs.

Mais très vite, ses faibles protestations se transforment en authentiques encouragements :

-          Vas-y ! Lèche-les à fond…. Oh mon dieu c’est bon !! Oui fesse-moi encore… espèce de pervers !!

Je la repousse alors et dit :

-          Mets-toi à genoux…

Elle s’exécute et déboutonne mon pantalon. Elle sort ma queue et…. Soudain, j’entends quelque chose, comme un bruit de porte. Merde !! C’est Thomas !!! En un éclair, mon sexe passe de raide comme un piquet à l’état de saucisse molle.

-          Qu’est-ce qui te prends ?

-          T’as pas entendu la porte !!! Relève-toi !

-          Mais non !! C’est Garfield, le chat !!! Il est rentré par la chatière.

Je la regarde d’un air peu convaincu.

-          Tu veux jouer les dominateurs, mais t’as rien dans le caleçon. Je vais voir si je peux arranger ton cas…

En faisant le moins de bruit que possible, je sors mon appareil photo pour la prendre avec ma bite dans sa bouche.

-          C’est quoi ça ?!

-          (Merde raté !) Je voulais juste te prendre en photo…

-          Laisse ça de côté.


Sur ce, elle avale complètement ma queue et grâce à ses savants coups de langue, la rigidité de mon membre devient presque phénoménale.

Ses lèvres sont douces et leur contact avec mon gland maintenant turgescent est incroyablement bon.

Elle alterne le léchage de mes couilles bien remplies avec une pipe effrénée ; à chaque fois ma bite disparaît entièrement dans sa bouche. Je lui caresse les cheveux. Ils sont soyeux, doux…

Petit à petit, j’accompagne de ma main le mouvement de sa tête :

-          Oh….Corinne, continue…. Aspire-la bien ! Comme ça oui…

 

Cette petite gâterie dure encore quelques minutes, puis elle se lève, me tourne le dos, commence à s’éloigner et me jette un regard plus qu’évocateur style « suis-moi…. ».

Tout en regardant son joli petit cul, je la suis dans la chambre. Elle s’allonge sur le lit, écarte les cuisses et glisse délicatement un doigt dans sa fente apparemment bien humide.

-          Fais-moi jouir… fais-moi crier…

-          Tes désirs sont des ordres.

Elle retire sa main et me la tend. Sans hésiter, je lèche ses doigts imprégnés de liqueur intime.

De ma main droite, je commence à lui caresser doucement la vulve….c’est une véritable inondation là en bas !! Sans rencontrer la moindre résistance, je lui enfonce deux doigts : sa chatte est chaude et dilatée grâce à ses exploits « godesques » de tout à l’heure.

Ma queue est maintenant une vraie barre de métal, j’en ai presque mal.

-          Prends-moi ! Te retiens pas, pénètre moi profondément….

Lentement, j’enfonce ma bite en elle. Je savoure chaque centimètre gagné sur son intimité. Après quelques va-et-vient, je décide de passer à la vitesse supérieure ; elle respire de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle me regarde droit dans les yeux alors que mon mouvement s’accélère encore…

Désormais je lui assène de grand coup de boutoir, à chaque fois mon bassin vient « frapper » son petit cul et sa chatte si accueillante. Mes aïeux quel pied !!!

Je suis à genoux sur le lit, je lui maintiens les jambes en l’air, je la baise comme un fou… sa chatte est trempée et je devine ses gros seins qui ballottent sous la chemise de nuit.

Je ne tiens plus d’excitation. Je ne sais pas si vous avez connu ce genre de ressenti ; je ne peut pas m’arrêter, je ne suis plus tout à fait moi-même, je la « bourre » de toutes mes forces, vraiment aussi fort que je le peut…

-          Oh Franck….baise-moi……oui…….Aaaaaaaaahhhhhhhhh !!!!!!!!!

Elle pousse un hurlement, se tortille frénétiquement en se mordant la main. Je donne tout ce que j’ai pour prolonger son plaisir…je sens que je ne vais plus tenir longtemps….

Assourdi par mon plaisir je me retire un peu trop tard et je décharge une bonne partie de mon foutre dans sa chatte en feu….

Elle semble épuisée, presque évanouie. J’en profite pour prendre mon appareil et immortaliser l’instant.


Je passe dans la salle de bain pour me rafraîchir et je repense à ce qui vient de se passer. Je suis un peu honteux vis-à-vis de mon pote mais heureux d’avoir pu baiser (c’est le terme approprié) sa sœur…

Mon téléphone sonne :

-          Franckie, c’est Tom. Je suis là dans 5 minutes.

-          Je t’attends. Je suis chez toi.

-          T’as pas attendu trop longtemps ?

-          Non, ta sœur est là, elle m’a tenu compagnie…

-          Ca marche à toute !

-          A toute.

 


Par FRANCK LESTAT - Publié dans : HISTOIRES - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Mercredi 2 décembre 3 02 /12 /Déc 18:25

Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, si cela vous excitent, envoyez-moi des photos de vous et je les intègrerais dans une histoire comme celles que vous pouvez lire dans la catégorie fantasmes....
N'ayez pas peur!!!
Sur simple demande de votre part, les articles pourront être supprimés.

Envoyez-moi vos photos!!!
kukaman2002@yahoo.fr

Franck L

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : CONTRIBUTIONS - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 17:43

Voilà deux semaines que j’avais baisé la mère de Myriam. Les deux derniers cours de soutien s’étaient passés comme d’habitude, rien de spécial à signaler. Apparemment, Nadège ne ressentait plus le besoin de « se faire tirer » par un jeune ; à mon grand regret d’ailleurs.

Mais ce qui allait me tomber dessus est d’un autre genre.

 

J’arrive donc chez les LAGARDE pour donner à Myriam son cours hebdomadaire de maths. En m’approchant de la maison, je remarque qu’il n’y a pas de voiture garée devant. Je sonne.

Cette fois, cette la jeune fille elle-même qui vient m’ouvrir.

Après les salutations d’usage, je demande :

-          Ta mère n’est pas là ?

-          Non elle rentrera assez tard ce soir. Un problème au boulot je crois.

-          Ah ok. Bon on s’y met ?!

 

Elle me précède dans l’escalier et je ne peux pas m’empêcher de la reluquer.

Elle porte un Jean’S très moulant, taille basse ; il lui moule le cul d’une façon indescriptible. En haut, elle a un T-shirt blanc et une chemise noire ouverte par-dessus. Sa poitrine ballotte beaucoup et je me prends à imaginer qu’elle ne porte pas de soutif.

 

Ses petites socquettes blanches lui donne un air de gentille petite fille qui bizarrement me fait de l’effet. Je commence à regarder Myriam de plus près : elle a de longs cheveux châtains avec de beaux yeux bleus foncés. Ses seins ne sont pas très gros mais ont l’air bien ronds et fermes. Je sais qu’elle fait beaucoup de sport et cela se voit : son corps est mince avec des formes peu prononcées mais très agréables à l’œil. Et son cul….Ah son petit cul… un délice !!

 

Malgré son jeune âge (elle a eu 18 ans il ya quelques mois) je ne peux détacher mon regard de son cul.

Tant bien que mal, le cours commence. Au bout de 5 minutes, elle dit :

-          Il fait super chaud ici. Tu trouves pas ?

-          Perso, ça va…

-          Moi je tiens plus.

 

Elle se lève et ôte sa chemise, ne gardant que le T-shirt. Je découvre alors qu’elle porte un string noir, très fin qui dépasse de son pantalon.

Le cours reprend. Bien malgré moi, je me concentre plus sur le corps de cette gamine que sur le cours que je lui donne. Après tout, si je mate je ne fais de mal à personne. Pendant qu’elle réfléchit, elle suce son stylo et le lèche du bout de la langue pour se concentrer. Merde !! Elle est vraiment bonne !!!

 

L’exercice terminé, je commence la correction. Pendant ce temps, elle s’étire et pose ses pieds sur ma jambe. Je ne dis rien, mais je dois avouer que j’ai un faible pour les pieds féminins. Je les trouve très érotiques et les siens sont si mignons…

Elle commence à me caresser la cuisse avec son pied gauche tout en me fixant du regard. J’ai honte, mais ma bite se réveille…..

Lentement elle glisse le pied droit entre mes jambes…

-          Qu’est ce que tu fais !!!

-          Quoi !! Je te plais pas ??

-          Mais ça va  pas !!

-          Alors c’est comme ça, on veut bien se taper la mère, mais la fille elle a qu’à se mettre un doigt !!!

-          Qu’est ce qu..

-          Eh ouais, je suis au courant !! Y a 2 semaines quand j’étais en retard, vous êtes arrivés dans la cuisine…elle avait encore ton foutre sur le menton !!! Et hier j’ai trouvé ça sur le PC.

 

Elle me jette les deux photos que j’avais prises et envoyées à Nadège. Je ne sais plus quoi dire…. J’ai chaud, je deviens tout rouge… Elle retire son T-shirt et ….oh bordel !! Elle porte rien en dessous. Ses seins sont magnifiques. Mon érection reprend de plus belle. Elle commence à se malaxer la poitrine tout en se léchant les lèvres et en me fixant droit dans les yeux : Elle m’allume !! Et je dois dire qu’elle s’y prend fichtrement bien la petite pétasse.

 

Son pied droit repart en direction de mon entrejambe et entre en contact avec ma queue maintenant bien dure.

-          Pourtant je t’excite. T’as envie de moi, de ma petite chatte…. Tu veux me lécher les seins ? je t’en prie, viens les…

-          Arrête !!

-          Pourquoi ? me répond-elle.

Puis dans un murmure :

-          J’ai envie que tu viennes me baiser comme une chienne…

 

Elle se lève, se couche sur le lit, et enlève tous ses vêtements un par un, sans cesser de me fixer de ses beaux yeux.

Elle ne garde que les socquettes et tend ses pieds vers mon visage. Elle me caresse et met son pied droit dans ma bouche.

 

Je vois sa petite chatte sans poil, déjà toute humide et qui attend qu’on s’occupe d’elle. Instinctivement je suce son pied à travers sa chaussette ; j’attrape la socquette dans mes dents et elle retire son pied. Son pied maintenant nu revient s’occuper de ma bite, qui me fait presque mal tellement je bande. Le manège recommence avec son pied gauche.

-          Tu veux me prendre en photo ? Comme ma mère.

 

Sans rien répondre, je prends l’appareil et me délecte de la vue.


 

Bien que ma conscience me l’interdit, je me déshabille. Mon côté obsédé me murmure : elle est majeure alors, vas-y occupe-toi d’elle.

 

Doucement, ma main écarte les lèvres de son sexe et je commence à la caresser.

 

-          Tu sais je n’ai jamais couché avec un mec…

-          Quoi !! Allez, on arrête…

-          Non !! Je suis plus vraiment vierge. Je me fais souvent jouir toute seule avec mes doigts….

-          Non désolé mais je peux pas.

En même temps, ma queue se ramollit : je crois que je suis sauvé.

Elle se redresse vivement, attrape ma bite et l’avale d’un seul coup. La surprise fait place à un plaisir intense. La garce, elle aime la bite on dirait !!

Cette petite pipe dure un petit moment quand je lui propose de m’allonger sur le lit et de se faire un petit 69.

 

Son corps est léger et sa peau sent bon. Je fourre ma langue dans son vagin et bois son liquide intime. Quel délice, il est sucré et chaud.

Je décide de passer aux choses sérieuses et m’attaque à son petit clito.

Pendant ce temps elle continue sa fellation de manière experte alternant le léchage de mon frein et de mes couilles avec l’avalement complet de mon membre.

Je lui prends le cul à pleines mains et lui bouffe littéralement la chatte. Bientôt le plaisir l’empêche de s’occuper de moi et je suis inondé de sa douce cyprine.

-          Allonge toi…

-          Oh oui, fais moi l’amour…

 

Délicatement, j’introduis un doigt dans sa chatte et débute un lent mouvement. Elle à l’air de bien apprécier lorsque je me risque à l’introduction d’un second. A ma grande surprise, celui-ci n’a aucun mal à pénétrer son intimité.

-          Prends-moi !!

 

J’enfile la capote et commence à la pénétrer. Elle n’a pas l’air de souffrir mais mon mouvement reste précautionneux. Elle se tord de plaisir et ne cesse de gémir. Je la regarde et lui caresse les seins en m’attardant plus sur le téton.

-          Oh Franck, c’est bon….

-          Écarte bien les cuisses que je te prenne plus profondément.

-          Non prends moi comme une chienne, à quatre pattes.

 

Par derrière le plaisir est encore plus grand. Tout en la limant délicatement, je lui titille le clito puis elle suce mon doigt.

Ce doigt mouillé me donne une idée. Tout en la pénétrant vaginalement, mon doigt vient tâter son anus, sa petite fleur. Elle ne semble pas refuser alors je décide de mettre mon doigt dans son petit cul. Ses gémissements se transforment en cris et mon va-et-vient se fait plus intense.

Elle vraiment bonne cette petite. Pas aussi expérimentée que sa mère mais plus agréable à l’œil.

 

-          Vas-y, vas-y !!

-          On dirait que ça te plait…

-          Oh oui Franck, j’en peux plus !! Tu me tues !!!

Avec un geste rapide, je me retire, ôte le préservatif et me décharge sur sa fleur toute dilatée.

-          Hmmmm…c’est chaud murmure-t-elle

-          Ne bouges pas.

 

Je saisis mon appareil et admire mon travail.

 

-          Bon le cours est fini.

-          Déjà !!! A quand la prochaine fois.

Dans ma tête la réponse était claire : jamais !!

-          On se voit la semaine prochaine.

 

Le lendemain, j’ai appelé Nadège, la mère de Myriam en lui expliquant que mon emploi du temps avait été modifié et que je ne pourrais plus assurer les cours de sa fille.

 

Je me suis arrangé avec la directrice et elle a envoyé une étudiante pour me remplacer.

Espérons que cela calmera les ardeurs de cette déchaînée…..à moins qu’elle ne veuille découvrir les plaisirs saphiques……

 

Franck L 
Par FRANCK LESTAT - Publié dans : HISTOIRES - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 14:50

Voilà de jolies "mamans" qui me font bander bien dur.
Elles vous plaisent?

Une rousse pulpeuse, aux seins énormes, la chatte ouverte, chaude comme la braise. Je mettrais bien ma bite à la place de son doigt.... Que du bonheur

Son corps est parfait... J'ai toujours rêvé d'avoir une tante ou la mère d'un pote comme ça!!!!!

Ces grosses mammelles n'attendent qu'une grosse bite et cette chatte veut une langue!!!!

Donnez votre avis!!!  Elles vous plaisent ces "mamans"?
kukaman2002@yahoo.fr

Franck L

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : FANTASME - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Vendredi 27 novembre 5 27 /11 /Nov 14:42

Aujourd’hui, comme chaque semaine, je vais voir Myriam. C’est une jeune fille de 18 ans qui éprouve quelques difficultés à se passionner pour les maths. J’arrive chez elle en peu en avance : il est 17h45 et le cours doit commencer à 18h.

C’est sa mère qui vient m’ouvrir. C’est une femme d’environ 40 ans, brune, les cheveux longs. Elle est légèrement ronde et possède une poitrine phénoménale : de vraies pastèques. Son visage, cependant est très fin. Je dirais même qu’elle est belle.

En tous cas, à peine la porte est-elle ouverte que je reste bouche bée. Devant moi, la mère de Myriam porte une espèce de robe noire dont le haut est quasiment transparent avec un décolleté énorme qui laisse voir une bonne partie de sa généreuse poitrine.

-          Bonjour madame LAGARDE.

-          Bonjour Franck. Comment vas-tu ? Entre donc, ne reste pas dehors sous la pluie.

Tu es en peu en avance.

-          Ce n’est  pas grave. Je vais attendre.

-           Tu n’as vraiment pas de chance !! Exceptionnellement, Myriam est chez son père. Elle aura du retard.

-          Ah bon ? Et vous savez combien de temps ?

-          Je pense environ une heure. Si tu ne peux pas attendre, ce n’est rien. On reportera à la prochaine fois.

Je n’avais rien de spécial après les cours. En plus, madame LAGARDE a beaucoup de conversation.

-          Si ça ne vous dérange pas, je vais l’attendre.

-          Ok pas de problème.

Je vous avoue que pendant ce petit dialogue, je n’ai cessé de reluquer le cul de cette maman. Je suis décidemment un vrai obsédé. Mais le pire arrive. Elle se retourne vers moi :

-          Tu veux boire quelque chose ?

-          Euh…..oui…….un coca svp….

A travers la transparence de sa robe, j’ai nettement vu les auréoles de ses seins. Elles sont toutes roses et d’une taille en adéquation avec le reste de la poitrine. C’est une catastrophe, je n’arrive pas à en décrocher le regard. Je sens qu’elle va le remarquer et je…

-          Hum, hum…….voila ton coca.

Et voila j’ai du me faire attraper.

-          Excuse moi pour cette tenue un peu spéciale mais il fait tellement chaud malgré la pluie.

-          Euh…..quoi…..euh……non….

-          Ne t’en fais pas, je dirais rien à personne.

Sur ce nous commençons à discuter ; des progrès de sa fille, de mes études, de son travail (Nadège LAGARDE travaille dans une banque), de l’actualité. Durant tout ce temps, je dois faire des efforts surhumains pour ne pas mater ses seins. 50 minutes avant l’arrivée supposée de Myriam, elle me demande si je peux lui rendre un service.

Elle me demande donc de la suivre et nous arrivons dans la chambre d’ami, situé à l’étage. Elle se retourne, me regarde droit dans les yeux et me sort :

-          Tu sais ça fais maintenant 10 ans que je suis divorcée

-          Euh…..oui….

-          Et depuis mon mari, je n’ai pas eu beaucoup d’hommes…. Et je voulais savoir si tu pouvais me rendre ce petit service…

-          Euh……

-          Je t’ai vu tout à l’heure, tu regardais mes seins. Ils te plaisent ?

-          Euh…oui….mais….

-          Alors fais-moi l’amour !!!! Tout de suite !!!

Elle me colle la tête entre ses deux immenses mamelles et gémit déjà de plaisir.

-          Madame LAGARDE, attendez !!!

-          Quoi ? Tu ne me désires pas peut-être ? Vu la bosse dans ton pantalon, je penses plutôt que tu as très envie de moi.

-          Puis-je vous prendre en photo alors ? Après vous ferez de moi ce que vous voulez…

-          Ok, mais à une condition, je ne veux pas qu’on voit mon visage.


Une fois la photo prise, elle me dit :

-          Mon Dieu qu’il fait chaud ici !!

Elle fait alors glisser sa robe, me révélant ainsi une poitrine gigantesque. Je me jette sur ces mamelles, les lèche, les suce, mordille les tétons plus durs que jamais. Quel bonheur que d’enfouir mon visage dans ses seins chauds et gonflés.

Pendant ma petite séance de dégustation, ma main remonte le long de sa cuisse, caressant sa peau douce. J’arrive enfin au niveau de son entrejambe. La culotte de dentelle noire est elle aussi transparente et je peux voir à travers que madame LAGARDE à une chatte magnifique, épilée juste comme il le faut. Je fais passer mon doigt sur sa vulve déjà trempée tout en me noyant encore et toujours au milieu de sa poitrine.

-          Viens par là mon petit chéri…. Fais moi hurler…

Alors elle recule et s’allonge sur le matelas du lit de la chambre d’ami et écarte délicatement ses jambes.

Excité comme un fou, je sort ma queue, la recouvre d’une capote et m’approche de ce corps de femme mûre transpirant de désir.

 

Doucement, je décale sa culotte, ne prenant pas le temps de l’ôter et la pénètre d’un seul coup, mais en savourant chaque centimètre gagné sur son intimité.

Je lui relève les jambes et commence à la pilonner comme si ma vie en dépendait. Sous chaque coup de boutoir ses seins tressautent, ne m’excitant que davantage.

 

-          Oh oui !!! Plus fort, vas-y…. J’en ai tellement envie !!! BAISE-MOI !!!!

-          Je vais te baiser plus fort que tu n’as jamais imaginé….

-          C’est bon !!! c’est bon !!!!

Tout en accentuant mes mouvements, je me disais : « elle est vraiment bonne cette maman !! Une vraie salope !!! Et elle en veut la chienne…..

Soudain, elle pousse un hurlement et se cambre si brusquement que je suis contraint de me retirer.

-          Qu’est ce qui se passe madame LAGARDE ? Vous n’en pouvez déjà plus….

-          Quel pied !!! Mon Dieu c’est trop bon…. Approche-toi.

Elle se redresse, enlève la capote, prends ma bite et l’avale d’un seul coup. Le fait de sentir sa langue – apparemment experte – sur mon membre me fait l’effet d’une bombe. Pour ne pas tomber, je dois m’appuyer contre le mur. Pendant ce temps, elle continue de me sucer, avalant entièrement ma bite à chaque fois et aspirant le jus. Cette pipe mémorable ne s’arrête que de temps à autre lorsqu’elle décide de bien lécher mes bourses. Enivré de plaisir, je mets ma main dans ses cheveux, accompagnant le mouvement de sa tête.

Je sens que je vais jouir…

-          Oh Nadège, continue….. tu vas me faire jouir !!!

Je ne tiens plus et me décharge dans sa bouche. Que c’est bon. Elle ne stoppe pas tout de suite sa fellation, voulant me vider les couilles jusqu’au bout.

Je me retire. Elle me regarde en souriant, attrape l’appareil photo et me le tends.

Au moment de prendre la photo, elle fait ressortir le foutre qu’elle avait en bouche, celui-ci dégoulinant sur son menton.


Je profite de cette vue on ne peut plus merveilleuse quand le bruit de la porte d’entrée se fait entendre.

Merde !!! Voilà la fille qui arrive.

 

Je me rhabille en vitesse, Nadège faisant de même et nous allons au-devant de Myriam.

Nous la croisons dans la cuisine, en train de se servir un verre de jus d’orange.

Ce n’est qu’en la suivant dans sa chambre que je remarque que le menton de Nadège est encore maculé de sperme….



Franck L
Par FRANCK LESTAT - Publié dans : HISTOIRES
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