!!! Participez !!!
Mon but est de faire un blog pour échanger. N'hésitez surtout pas à m'envoyer vos participations (photos, textes, vidéos, confessions, ....) Ce blog est un peu comme vous souhaitez qu'il soit!!!
franckl67-blog@yahoo.fr
Mon but est de faire un blog pour échanger. N'hésitez surtout pas à m'envoyer vos participations (photos, textes, vidéos, confessions, ....) Ce blog est un peu comme vous souhaitez qu'il soit!!!
franckl67-blog@yahoo.fr
Voici de nouvelles photos de ma queue.
Mesdames, mesdemoiselles et messieurs je n'attends que vos commentaires......
Lâchez-vous!!!!
Voici de nouvelles photos de Julie. Elle m'a dit être attristée du peu de commentaires que vous luil laissez.
Alors lâchez-vous, elle aime les com crus et hards.....
C'est pas une pose de garce ça? Ce corps ne demande qu'à goûter à de grosses bites bien
dures!!!!
Un visage d'ange, une pose de salope et surtout un regard qui demande des queues!!!!
Dans cette position, je vais lui soulever la jupe, lui lécher la rosette en frottant ma bite sur ses pieds,
puis lui défoncer la chatte pour finir en lui ramonant le cul et le remplir de sperme chaud!!!!
Julie
est une belle femme, très chaude et très salope!!! Alors laissez lui des commentaires assoiffés de sexe!!!!
Je compte sur vous!!!
Franck L
Lorsque j’étais plus petit, mes parents s’entendaient bien avec un couple d’ami : les LEVI. C’est une famille juive composée du mari et de la femme ainsi que de leurs deux enfants : Christophe l’aîné et Sarah qui a le même âge que moi.
Si, depuis le déménagement les LEVI et ma famille se voient nettement moins, ce n’est pas le cas de Sarah et moi. Attention il n’a jamais rien eu entre nous !!! Ses parents sont assez ouverts concernant la religion mais il y a deux principes sur lesquels ils sont intransigeants : leur fille épousera un juif et elle restera vierge jusqu’au mariage.
Je ne peux pas dire non plus que la relation entre moi et Sarah soit restée totalement amicale. On se connaît depuis l’âge de 5 ans. Quand nous étions au collège, on est bien « sortis » ensemble en cachette. Cela signifie qu’on se faisait de petits bisous sur la bouche…. Un peu plus tard c’est à elle que j’ai roulé ma première pelle. A l’époque j’avais bien tenté de la peloter un peu, mais elle n’a pas voulu.
Toujours est-il que je la revoie de temps en temps. Il y a 2 semaines, elle m’a annoncé qu’elle et son copain David allaient se marier et déménager dans le sud. Je connais David depuis 3 ans maintenant, c’est un gars bien pour elle.
Profitant que ses parents soient partis en vacances, elle m’invite à manger chez elle.
Je me pointe donc à midi comme elle me l’a demandé.
Sarah est une belle fille, mince, les cheveux noir et bouclés et de jolis petits seins qu’à mon grand regret je n’ai jamais pu caresser. Elle vient m’ouvrir et me propose de prendre l’apéro dans le salon.
Pendant qu’elle me sert un porto, je ne peux m’empêcher de la détailler de la tête aux pieds. Elle porte un haut noir aux manches longues assez moulant sur une jupe – mais qu’elle est courte !! – noir également. Ses jambes sont prises dans des bas (ou collants) noir opaques qui ne laissent rien paraître de sa peau blanche.
Malgré moi, je me prends à imaginer ce qu’elle porte en dessous…. Non il faut que j’arrête !
Le repas se passe bien (je vous passe les détails, c’est pas une histoire cul-inaire) et j’attends avec impatience le dessert. A ce moment, je ne sais pas encore que jamais je ne le mangerais.
Nous discutons de tout et de rien, puis elle engage la conversation sur sa future vie dans le sud.
- Ce mariage me fait peur.
- C’est normal dis-je même si en vérité je n’en ai aucune idée. Mais David est sympa, et tu l’aimes, non ?
- Bien sûr, bien sûr…. Mais je n’ai jamais vécu avec lui. J’espère que ça se passera bien.
- Mais oui, t’en fais donc pas.
Un petit silence, elle rougit et me dit :
- Et la première nuit…….je ne veux pas le décevoir. Je n’ai aucune expérience. Le seul garçon qui m’ai jamais touché c’est toi. Il y a longtemps…..et si peu…..
Là je reste sans voix. Que voulez-vous lui répondre.
- Franck, ça ne vas pas ?
- Si, si….pas de problème.
Malheureusement, des pensées peu catholiques envahissent mon esprit, ma bite commence à gonfler. Soudain je regarde Sarah différemment ; son haut est plus moulant que tout à l’heure, c’est indéniable. Et sa jupe est plus courte, ses lèvres plus sensu…Mais qu’est-ce qui m’arrive. Je dois rougir car elle me dit :
- Qu’est ce que tu regardes ? mais on dirait que je te fais de l’effet !!
- Non c’est rien, je m’excuse.
Ah, ces foutu Jean’S à la mode où la moindre petite érection se voit !!
Elle se lève et s’approche de moi. Elle me regarde droit dans les yeux :
- Je dois rester vierge pour mon homme, mais certaines choses ne se sauront jamais.
- Qu’est….
- Tais-toi et laisse toi faire.
Sur ce, elle défait ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Lentement elle prend ma queue dans ses mains et approche sa langue. C’est pas possible, je dois rêver. Commence alors une fellation comme j’en ai connu peu…du pur bonheur. A ce demander où elle a appris tout ça ! Je descends les yeux vers elle et la voyant me risque à demander :
- Je peux te prendre en photo ? Ca me laissera un bon souvenir.
- Je ne sais pas….Bon d’accord. Et elle me reprend en bouche.
Je me lève pour qu’elle puisse mieux me sucer.
Son regard se fait plus chienne et elle me susurre :
- J’ai très envie que tu t’occupes de moi.
Je repousse alors la vaisselle et l’installe sur la table. Je retire ses collants et sa petite culotte bleue et découvre une chatte bien rose.
Je relève sa jupe et commence à lécher sa vulve. Mon Dieu elle est trempée, une véritable inondation !!
- Fais attention, je tiens vraiment à rester vierge.
- D’accord, je te le promets.
Il me vient alors une idée. Je devrais avoir honte mais l’excitation est trop forte. Après avoir mouiller mon doigt, je commence par lui titiller l’anus. Puis tout doucement mon doigt pénètre de plus en plus dans le cul de ma meilleure amie. Après un petit cri de surprise, elle me dit de continuer. J’ai l’impression que ma bite n’a jamais été aussi grosse…..
Au bout d’un certain moment, elle me dit :
- Suis-moi. Je veux aller plus loin.
Elle se dirige dans sa chambre tout en ôtant son haut. En la voyant s’éloigner, je me dis qu’elle est vraiment superbe.
Quand je rentre dans la pièce, elle est nue devant moi.
- Vas-y doucement, je n’ai jamais essayé…
Elle se met à 4 pattes sur son lit et me présente son cul. De là où je suis, j’aperçois clairement la fente de son sexe et son anus, légèrement dilaté par mon doigt. Après avoir enfilé mon préservatif, j’entreprends d’humidifier sa fleur.
- J’en peux plus, prends moi vite….
Tout doucement, j’enfile mon sexe en elle. Apparemment elle n’a pas l’air d’avoir trop mal. Lorsque je sens que la dilatation est maximale, j’entreprend des vas et vient, d’abord lents puis de plus en plus rapides.
Pour moi, ce n’est pas la première sodomie, contrairement à Sarah. Pourtant, ces petits cris me laissent penser qu’elle aime ça. Le mouvement de ma queue entre ses fesses se fait de plus en plus facilement, lorsque :
- Je voudrais te voir pendant que tu m’encules.
Un langage pareil dans sa bouche ne fait qu’augmenter mon désir et mon plaisir. Le paroxysme intervient quand, couchée sur le dos, elle me lâche :
- En plus comme ça tu pourras m’arroser le visage avec ton sperme…
- Tu…tu es sûr ?
- J’ai envie de savoir quel goût tu as.
Je relève ses jambes et m’introduit à nouveau dans sa fleur. Le plaisir monte, monte et monte encore. Tout en la sodomisant je lui lèche les pieds. Ses cris sont devenues de vrais hurlements. Pourvu que les voisins ne soient pas chez eux.
- Ah Sarah, je viens, je vais jouir !!!
- Oh oui, donne moi tout !!
- Je me retire et enlève à la hâte la capote. Tout en me branlant, j’approche ma verge de son visage.
Mon foutre se répand sur son beau visage et ma vue se brouille tant la jouissance est grande.
- Tu veux prendre une autre photo ?
- J’osais pas le demander.
Je me précipite sur mon appareil et immortalise cet instant de bonheur.
Nous passons le reste de l’après-midi à flâner en ville et à rediscuter de tout et de rien.
Depuis ce jour, j’ai revu à 3 reprises ma petite Sarah. Malheureusement, David était toujours là. Nous faisons comme si rien n’avait eu lieu mais quand nos
regards se croisent, je revois Sarah ma bite en bouche et me fixant de ses beaux yeux bruns.
Franck L
Pour continuer sur mon fantasme des femmes "matures" (cf.
l'histoire d'Amanda), voici quelques photos qui me font bander....
Son corps est parfait, et ses mamelles!!!! Elle doit être bien juteuse....
Hier, il faisait encore très chaud dans notre beau pays. je décidais d’aller me baigner dans une crique, pas très loin de chez moi. En Guyane, une crique, c’est un petit fleuve, une rivière. On peut s’y baigner sans danger, même si nous sommes au cœur de l’Amazonie. L’eau y est plus fraiche que dans la mer ou les piscines, elle oscille entre 25 et 26°. Pour ici, c’est frais !
Je m’y rends donc, avec un peu la crainte qu’il y ait beaucoup de monde. Mais divine surprise, pas une voiture à l’entrée du layon (le chemin d’accès.)
En effet, en arrivant sur place, je constate que les grandes pierres plates qui servent de plage sont désertes. Je pose mes affaires, dans un coin un peu plus reculé, pour être tranquille, au cas où…
Je me baigne avec bonheur dans l’eau verte. Des poissons glissent entre mes orteils. Je goute le plaisir de me balancer à une grande liane, et de me jeter dans l’eau. Contrairement à mon habitude, j’ai mis un maillot. Mais vu qu’il n’y a personne, je l’enlève, le passe à mon bras, et continue ma baignade totalement nue. Après tout, il n’y pas âme qui vive !
Après un bon moment de baignade, je vais m’allonger sur les pierres. Je sens leur chaleur tiédir mon corps, à travers la serviette. Le soleil est fort, mais tamisé par les feuilles des ficus géants. Ici, ils mesurent au bas mot trente mètres de haut.
Et comme souvent quand je me sens bien, je finis par laisser glisser main vers mon intimité. Mes lèvres sont gonflées d’un désir latent, pas encore très fort, mais bien présent. Je laisse mes doigts caresser mon petit bouton, qui durcit vite sous ma caresse. Le désir s’amplifie, mais je n’ai pas mon petit gode, qui me sert en cas d’urgence. Tant pis, je ferai avec main !
J’en suis là de mes pensées, quand j’ai la nette impression qu’on m’observe. J’ouvre légèrement les yeux, et je vois à quelques mètres de moi, sur l’autre rive, un homme, éclairé par le soleil qui décline. Il me fixe, debout. J’ai un mouvement de pudeur. Je le vois mal. Mes yeux se réhabituent à la lumière, et je constate qu’il tient entre ses mains un objet long et raide.
Non, je ne rêve pas, il bande. Et il tient son sexe dans sa main. Je ne crois pas en ma chance ! Alors que j’ai une envie de plus en plus furieuse de baiser, un bel homme est là, devant moi. Il n’est pas très grand, râblé, les bras bien musclés. Il est taillé en V, le crane rasé, et semble dépourvu de tout poil. Le rêve pour moi !
Il me sourit, je le lui rends avec complicité. Je me tourne un peu vers lui, de façon à ce qu’il me voie mieux. Enfin, qu’il voie mieux ma chatte excitée. Il acquiesce d’un mouvement de tête, et commence à faire glisser sa main sur sa queue, que je devine bien épaisse. Elle n’est pas immense, mais elle me fait déjà saliver.
Je ne suis pas en reste. J’écarte d’une main mes lèvres bien humides, et de l’autre, je me caresse, passe mes doigts du clito à l’intérieur du vagin, mes mouvements d’accélèrent, les siens aussi, il se masse les couilles d’une main, de l’autre, branle vigoureusement sa belle bite, astique copieusement son gland décalotté et brillant.
Ce spectacle, un de ceux que je préfère, ne tarde pas à faire son effet. Je jouis sous mes propres caresses, inondant mes doigts de ma liqueur. Mon voyeur ne manque pas de le voir, et me lance : « Dommage d’avoir perdu ce précieux liquide… je peux venir vous rejoindre ? »
Sa voix est grave et profonde, elle me charme encore plus. Je fais « oui » de la tête, encore incapable de parler, sous le coup de mon, orgasme.
Il saute dans la crique, la traverse rapidement, le chibre toujours bien serré dans on poing. En quelques secondes, il est là, près de moi. Je ne m’étais pas trompée : c’est un beau mec, en tout cas, selon mes critères. Ses yeux rient de plaisir.
« Marco, ravie de vous rencontrer, belle dame. Ce n’est pas tous les jours qu’on voit une belle femme nue dans cette crique. Et avec une aussi belle et grosse coucoune (chatte, en créole.) »
Je rougis un peu sous le compliment et le lui retourne : « Marco, c’est un plaisir de faire la connaissance d’un homme qui aime mater et s’exhiber. Nous sommes faits pour nous entendre ! »
Nous rions tous les deux, mais je ne peux m’empêcher de fixer son bel engin, toujours raide de désir. Il me dit alors : « Tu as joui une fois, mais toute seule, je veux te faire jouir, moi… Que veux-tu que je fasse pour ça ? »
Quel homme, un vrai fantasme vivant ! Je lui réponds que je veux sa langue, sa langue dans ma coucoune. Prestement, il s’allonge sur le coté, pour ne pas blesser sa belle queue, et sans hésiter le moins du monde, écarte mes lèvres en grand, et enfourne sa langue au plus profond de mon vagin. Son organe semble immense. Il me fouille, ne laisse aucun endroit non visité, s’aventure sur mon petit trou, qui frémit de plaisir sous cette divine caresse. Décidément très attentif à mes réactions, il enfonce délicatement un doigt lubrifié dans ma rosette, qui s’ouvre sans peine face à cet intrus. Et il continue avec le geste que j’attendais : il insère son pouce dans ma chatte. Il me fait ce que je nomme une « pince : un doigt dans chaque trou.
Il les bouge en rythme, me labourant gentiment les deux orifices. Et comme s’il répondait à ma dernière attente, il enroule sa langue sur mon clito dressé. Ce traitement de choc ne tarde pas à faire effet : je jouis, sans me retenir cette fois. Au diable d’éventuels intrus. Je crie mon plaisir à la cime des arbres. Une foule de colibris prend son envol, sans doute affolés par mon vacarme !
Je jouis tant que ma serviette est trempée d’un flot de cyprine comme j’en ai rarement eu. Il faut dire que tout est réuni pour ça : le cadre, le soleil, l’eau, le voyeur, qui devient mon baiseur, baiser avec un inconnu bien membré…
Tout y est pour une excitation maximale !!!
Il se redresse, toujours aussi bandé. Je m’assieds, et me penche vers cette belle bite qui me nargue depuis tout à l’heure. Je l’embouche brusquement, sans prévenir. Il m’emplit la bouche, son gland aplatit ma langue, et me coupe la respiration. Il est vraiment massif. Je sens que je vais adorer me faire prendre...
En attendant, je l’aspire, le lèche, le déguste comme une glace... Je mordille son frein, le gros gland rouge… Je gobe ses grosses couilles bien pleines, je masse le gros sexe avec fermeté.
Mais Marco suspend mon geste : » T’as une capote ? Je veux te baiser ! »
J’acquiesce, le lâche à regret et attrape mon, sac. J’ai toujours des capotes sur moi. J’aime me faire sauter, mais je ne veux pas être malade !
Il la prend, la déroule prestement, l’enduit du gel à ma demande.
« Mets-toi à quatre pattes, je veux voir ton cul bien offert. »
Je ne me fais pas prier, j’adore cette position. Je roule une autre serviette sous les genoux, pour ne pas avoir mal sur les pierres dures. Et surprise, quand je me mets en levrette, je vois juste devant moi, dans les herbes aquatiques, un autre mec, qui nous mate tranquillement. Je me tourne vers Marco, qui me dit sans attendre que j’ouvre la bouche : « C’est mon pote Thierry. Il aime mater. Tu veux bien ? Si tu veux, il te caresse aussi. Mais bon, comme il bande difficilement, tu ne lui feras rien… »
Comment refuser une telle proposition ???
Le Thierry en question s’approche, et c’est vrai qu’il ne bande pas. Sa bite pend, flasque sur ses cuisses. D’une main, il tente pourtant de lui donner de la vigueur, de l’autre, il saisit mes un de mes seins, et le malaxe fermement. Mes pointes durcissent, et cela accroit encore mon excitation…
Marco se met derrière moi, me pénètre avec force, mais sans me faire mal. Depuis le temps que j’attends de me faire prendre…. Il commence ses va et viens doucement, puis plus rapidement. Ses grosses couilles lisses battent contre mon clito. Je demande à Thierry de me branler en même temps. Il obéit aussitôt. Marco lui ordonne d’un ton sec : « Masse aussi mes boules, pédé ! »
Je suis un peu surprise par la teneur de son propos. Thierry obtempère, et je sens ses doigts agiles qui me titillent le clito. Marco me tient fermement les hanches, me besogne la chatte bien profondément. Je ne peux m’empêcher de lui crier : « Vas—y, baise-moi, défonce-moi, déchire ma chatte, j’en crève… »
Pour toute réponse, il accélère le mouvement et enfonce à nouveau un doigt dans mon cul offert à lui. Thierry me branle aussi de plus en plus vite. Pour la troisième fois en quelques minutes, je jouis à m’en rompre les cordes vocales.
Mais Marco n’a pas joui… Je continue donc à danser sur son pieu. J’ouvre les yeux, et je constate que son copain bande maintenant un peu.
Mais sans que je m’y attendre, Marco sort de ma chatte, ôte la capote, se lève, et va enfourner sa bite encore plus grosse dans la gorge de son copain !
J’hallucine, là !!! Thierry ne bronche pas, il doit avoir manifestement l’habitude. Il lui baise la bouche comme il me défonçait il y quelques secondes à peine. Thierry se branle, il bande de plus en plus. Je vois le corps de Marco s’arquer, ses abdos en tablettes de chocolat se contractent, il enfourne sa queue jusqu’a la garde dans la bouche qui suffoque. Cette dernière se crispe sur le membre qui le force, et il a un hoquet. Le foutre qui lui a rempli la gorge suinte de ses lèvres. « Avale, tout, lopette, avale ma crème »
Marco est brutal avec son ami.
Je suis un peu désarçonnée, mais le spectacle m’excite. Je ne peux m’empêcher de me branler encore. Marco sort son sexe encore raide de la bouche de l’autre, et me regarde en souriant : « Tu n’en n’as pas encore eu assez ? Alors, avec moi, et lui, tu es bien tombée ! »
Et, se tournant vers celui qui est visiblement son soumis, lui ordonne : « Va la lécher, tu verras, elle est bonne, et tu as intérêt à la faire jouir. Sinon… »
Ce dernier mot est menaçant…
Je m’allonge sur le dos, Thierry entre mes jambes. Il me suce, me lèche avec application, il est doué… Marco se branle à coté de moi. Puis il me dit : « Il te fait du bien chérie ? »
Je hoche la tête pour confirmer. Alors, il saisit la bite de Thierry, et la branle sans ménagement. Ce dernier se tortille sous l’assaut brutal. Il jouit très vite, projetant un faible jet de foutre sur la pierre chaude.
Marco, toujours aussi méprisant lui crie : « Tu jouis même comme un pédé impuissant. Je vais te donner ta leçon. Fais la jouir, et lève ton cul. »
Thierry se met à genoux très vite, et mon amant du jour lui enfonce la queue dans l’anus, comme ça, sans préparation. Thierry étouffe un cri de douleur puis ondule de la croupe, pire que moi ! Il aime ça, le salaud !
Me voilà dans l’une de mes positions préférées : bien léchée, et par un homme qui se fait enculer… Le rêve absolu. Pour la quatrième fois de l’après-midi, je jouis comme une folle. Marco jouit aussi, en criant des injures, cette fois-ci. Il sort des entrailles de Thierry, et lui présente sa bite à sucer : « Nettoie, et ne laisse rien ». Une fois de plus, ce dernier obéit.
Je les regarde, cette fois-ci, je suis assouvie... Enfin, je le pensais. C’est la première fois que je vois un deux hommes, maitre et esclave sexuel. Ca ne m’attirait pas vraiment comme scénario, mais là… ça m’excite diablement !
J’en fais part à Marco, qui ne perd pas le nord : « Si tu veux, chérie, on continue chez moi… » Comment refuser une telle proposition. ? Nous levons rapidement le camp, d’autant que des voix d’enfants nous arrivent : nous l’avons échappé belle ! Nous partons très vite, en croisant une belle famille qui vient se baigner…
Le reste de la journée, et une bonne partie de la nuit, nous avons baisé comme des sauvages, Marco était déchainé, moi très avide de sexe, et Thierry, très obéissant.
J’ai adoré !
Nous aussi!!!!!
Merci à Sophie.
Envoyez vos récits et fantasmes: kukaman2002@yahoo.fr
Franck L
Derniers Commentaires