Les études touchent à leur fin. Sauf que voilà : je suis en dernière année, nous sommes en Juin…..et il faut que je trouve un stage pour début Juillet.
Ca fait déjà quelque temps que j’ai envoyé des CVs et des lettres de motivation aux entreprises du coin. J’ai bien sûr eu quelques réponses, mais une seule – pour l’instant – est bien avancée. Je suis même convoqué à un entretien. Malheureusement, la société n’est pas située près de mon tout petit studio, alors pour ne pas être en retard, mon oncle (le frère de ma mère) a accepté de me loger pour cette nuit là.
Il habite une petite maison avec sa femme et leur plus jeune fille Isabelle. Leur fils étant plus âgé (la trentaine) il n’habite plus au domicile familial.
Le soir en question, mon oncle et ma tante sont de sortie pour fêter je ne sais quoi avec des amis. Ils ont à peine le temps de me montrer la chambre d’ami qu’ils doivent déjà s’en aller. La chambre a comme un air de vieux : la tapisserie, la déco… assez minable. Mais bon c’est pour une nuit, je vais pas me plaindre.
Je déballe mes affaires (pour une nuit, y en a pas beaucoup) quand on frappe à la porte. C’est Isabelle, que je n’ai pas encore saluée.
Ma mère et son frère sont assez proche et de ce fait ils se voyaient souvent le week-end ou pendant les vacances pour des repas et ainsi de suite. Du coup, ma cousine, qui a 6 ans de moins que moi, passait aussi beaucoup de temps chez nous et donc avec moi. Avec le temps on se voit moins mais je l’aime bien, elle est sympa. C’est une jolie fille de presque 19 ans maintenant aux longs cheveux bruns et avec de grands yeux ravageurs.
Je lui dis donc de rentrer dans la pièce et …… c’est le choc !!!
Elle se présente devant moi en petite tenue. Rien de vraiment hot ni de lingerie fine, plutôt sa tenue pour dormir. Pourtant, il n’est que 19h30 ???
Elle porte une culotte rose claire avec des bords en dentelle tirant vers le rose fushia. D’après ce que je peux en voir, il s’agit bien d’une culotte et pas d’un string. Les couleurs de son haut son assorties avec celle du bas : c’est un petit débardeur très court – il s’arrête au niveau du nombril – et très fin. La dentelle rose fushia part des bretelles et vient se croiser sous ses seins. Le décolleté n’est pas mal du tout….
Elle a les cheveux mouillés et vient me faire la bise. Je ne peux m’empêcher de remarquer qu’elle est pieds nus et que ses jambes son fines. Elle est déjà légèrement bronzée.
- Excuse-moi, je sors de la douche.
- Pas de problème. Comment tu vas ?
Nous partons en dialogue classique du genre : qu’est-ce que tu deviens ? Et l’année prochaine tu fais
quoi ? Tu pars en vacances cet été ? Et bla-bla-bla…
Cependant, je me sens troublé. Elle
est vraiment jolie, jeune, fraîche….
Il faut absolument que je me calme, c’est ma cousine ! Je la connaissais alors qu’elle ne savait même pas marcher !!
Elle me demande alors :
- Tu as une copine ?
- Euh non… et toi ?
- J’ai un copain, ouais. Depuis maintenant 2 mois.
- C’est cool. (Je suis rassuré, sa tenue ne signifie donc rien).
Son regard se pose alors sur le lit, où mes affaires sont éparpillées.
- Il est top ton appareil photo !!
- Merci.
- Tu fais beaucoup de photos ??
- Ouais pas mal.
- De quoi ?
- Oh de soirées entre potes, de paysages, de choses et d’autres (notamment de parties de jambes en l’air).
- Tu veux pas en prendre une de moi.
- Si tu veux, oui….
Elle me tend alors l’appareil qu’elle avait pris pour l’examiner.
- Quoi ? Maintenant !!!
- Ben pourquoi pas.
- Dans cette tenue ?
- Ca te gêne ? c’est juste pour moi…..
- ….Comme tu voudras...
Et je prends la photo.
Ce n’est qu’une fois mon regard fixé sur le petit écran du numérique que je me rends vraiment compte.
Elle prend une pose langoureuse qui semble nous inviter au plaisir charnel. Malgré sa relative petite taille, ses seins sont gros et fermes. D’ailleurs on distingue parfaitement les pointes de ses tétons à travers son débardeur.
Serait-elle excitée ? En tous cas, honte à moi, car je sens mon sexe se durcir à la vue de ce corps sublime et recouvert de si peu de tissu…
Une fois le cliché terminé :
- Je peux voir ?
- Bien sûr.
Elle devient toute rouge et ne dis plus rien.
- Elle ne te plaît pas ?
- Si, si…..
En reprenant l’appareil, je remarque que ces tétons semblent encore plus gros et plus durs. Mon regard descend vers ses hanches et……
Pour l’instant ce n’est qu’une toute petite tâche au milieu de sa culotte. Mais cela ne fait aucun doute, sa culotte est mouillée….
- Qu’est ce que tu regardes ? (elle suit mon regard vers son entrejambe) Oh merde !!
Je suis….Excuse moi…. Je sais pas…
- C’est pas grave (espérons qu’elle ne remarque pas la bosse faîte par ma bite).
- Je sais plus où me mettre…
Pendant c temps, la tâche s’agrandit. Elle continue de mouiller !!!
- Quand j’étais petite, je t’ai toujours admiré. Je crois même que j’étais un peu amoureuse de toi.
- Euh…. C’est normal quand on est petite.
On dirait qu’elle prend un peu d’assurance. Elle s’approche de moi. Mon dieu, sa culotte est vraiment trempée maintenant !! Ses pointes sont énormes, bien droites sous le mince tissu !!
- Pendant longtemps, j’ai eu envie de toi…..
- Isa !! Arrête !! Qu’est-ce qui te prends ??
- J’ai envie de faire l’amour, je pense que tu l’as remarqué dit-elle en passant sa main sur son sexe. Et à ce que je vois, je te laisse pas indifférent.
En disant ça, elle glisse sa main dans sa culotte, la retire et me la pose sur les lèvres….
C’est le clash dans mon esprit. A ce moment là, elle passe du statut de cousine à celui de jeune garce que j’ai ardemment envie de baiser. Elle est si proche de moi que son visage occupe tout mon champ de vision.
Je commence à lécher ses doigts. Que c’est bon !! Ils sont totalement imprégnés de sa liqueur intime….Mmmmmmh
Sa main redescend vers sa petite chatte et sa bouche la remplace. Ses lèvres, collées aux miennes ont un goût délicieux. Nos langues s’entremêlent langoureusement. C’est alors que ces doigts à nouveau trempés viennent se glisser au milieu de nos baisers. Je reste persuadé qu’elle les lèche autant que moi. La combinaison de sa langue, ses lèvres et sa cyprine finit de me rendre fou.
Je prends ses fesses à pleines mains, la soulève et la dépose sur lit.
Sans perdre un instant, je lui ôte sa culotte. Sa chatte est somptueuse, parfaitement taillée, fraîche et juteuse…très juteuse.
Ma langue vient se glisser sur sa vulve. Quel délice !! Elle semble prendre énormément de plaisir pendant que j’entreprends de lui aspirer le clitoris. Lui aussi est gonflé de désir. Elle écarte encore plus les cuisses et mon visage entier se perd dans son intimité.
- Je suis toute à toi !!
Au comble de l’excitation, mes mains se rapprochent de ses seins. Ne voulant pas perdre de temps, je déchire complètement son débardeur, révélant ainsi une poitrine généreuse et parfaite.
Ma langue s’enfonçant de manière régulière dans son petit trou prend le chemin de sa fleur.
- Attends Franck.
Elle me repousse et se met à 4 pattes, m’offrant idéalement son anus tout frais. Je ne sais pas si elle connaissait déjà cette sensation, mais elle apprécie. Pendant que ma langue lui rentre dans le cul, mes mains lui malaxent délicatement les seins et elle se caresse le minou.
Ma bite me fait mal. Je me relève et enlève mes vêtements. Elle se remet sur le dos, écarte les jambes et se caresse.
- Pénètre moi…. Murmure-t-elle.
- Tes désirs sont des ordres.
Je m’allonge sur elle, l’embrasse et enfile mon sexe gonflé comme rarement en elle. La suite est étonnante. Je ne dirais pas que je l’ai baisé ; je lui ai fait l’amour. Le coït est délicieux, mon mouvement lent. Mes lèvres ne quittent les siennes que pour lécher ses seins.
Quand tout à coup :
- Oh oui !!!! Franck !!! Continue !!!
Son corps s’agite, elle ondule le bassin de plus en plus rapidement. Elle se contracte alors, sa bouche grande ouverte ne peut produire le moindre son.
Sentant mon orgasme arriver pour honorer le sien, il me vient une certitude : je ne veux pas jouir en elle.
Au dernier instant, je me retire et décharge ma semence directement sur sa chatte.
Elle me sourit.
- C’était délicieux.
- Oui.
Je peux encore faire une photo de toi ?
- Là, tout de suite ?
- ….
- D’accord.
Je prends l’appareil et immortalise ce corps sali de mon foutre.
Nous sommes restés allongés côte à côte pendant presque une heure.
- Isa, ce qu’on a fait, je crois que ça ne doit pas se reproduire.
- Tu as raison. Mais je suis contente de l’avoir fait.
Elle m’embrasse puis me dit :
- Je suis bonne à repasser sous la douche maintenant.
Franck L
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