HISTOIRES

Jeudi 22 décembre 4 22 /12 /Déc 11:52

Depuis quelques temps, j’ai des douleurs dans la nuque. Comme des tensions. C’est peut-être lié au stress…allez savoir.

Du coup, un bon ami à moi, me conseille d’aller voir un ostéopathe. Lui-même y va de temps en temps quand il a mal au dos. Ne connaissant pas cette pratique, je me renseigne autour de moi.

Et je découvre que beaucoup de personnes que je connais ont recours à l’ostéopathie, pour des douleurs au dos, aux articulations, des tendinites, des migraines…

Finalement, je me dit que je vais regretter si je vais pas tenter le coup.

Cet ami me donne donc les coordonnées du cabinet qu’il fréquente. Cabinet MORTAIN / GOURAN.

J’appelle pour prendre rdv avec M. Mortain, qui est l’ostéo de mon pote.

-          Malheureusement, monsieur, le planning de M. Mortain est plein pour les 3 prochains mois… Je ne peux rien faire de mieux.

-          Ah…

-          Par contre, il reste des disponibilités chez sa femme, Mme Gouran…dans une semaine, le 12. Ca pourrait vous convenir ?

-          Oui, tout à fait. Je vous remercie

-          Très bien je note donc le 12 à 15h00.  Mais je dois vous dire que Mme Gouran est professeure et qu’il peut donc y avoir des étudiants pour l’assister. Ca ne vous dérange pas ?

-          Non très bien. Je vous remercie. Au revoir.

Le jour convenu, je me rends donc au cabinet d’ostéopathie.

La secrétaire – charmante – créé mon dossier et me demande de m’installer dans la salle d’attente.

Au bout de quelques minutes, une femme d’environ 50 ans brune, relativement mince et jolie m’appelle. Il s’agit bien entendu de Mme Gouran.

On rentre donc et là j’aperçois une rousse incendiaire, d’une vingtaine d’année, aux cheveux longs, des yeux bleus derrière une paire de lunettes à monture noire épaisse…mais surtout, une paire de « loches » incroyable !!! Ils sont énormes !! Le haut de sa blouse est tendu au maximum….

Elle se lève et je suis obligé de remarquer qu’elle est en jupe – sans collants, ni bas – et qu’elle une jolie paire de ballerines mauves.

-          Voici Nathalie, c’est une étudiante de dernière année qui termine son cursus la semaine prochaine.

-          Bonjour et félicitations

-          Bonjour. Merci

On s’installe donc au bureau et Mme Gouran me pose un tas de questions : mes maladies, les fractures que j’ai eu, mes douleurs, ….etc.

Au bout de dix minutes, elle se lève et me désigne une petite pièce

-          Vous pouvez vous changer ici.

Et oui, pour ceux qui ne le savent pas, en ostéopathie, on se fait manipuler en sous-vêtement, sans chaussettes. Ce qui signifie en caleçon pour les hommes. Je sens que les plus malins commencent à sentir le problème…

Comme j’étais prévenu, j’ai fait en sorte de mettre un « boxer » classe, pour ne pas me taper la honte.

Malheureusement, la présence de la petite Nathalie complique l’équation. Je reste quelques secondes de plus que nécessaire pour me calmer et ne pas penser au pire.

Je ressors et je fais ce que je peux pour ne pas regarder directement la belle rousse.

Je me positionne sur la table et les manips commencent.

Tout se passe au mieux, j’arrive à me concentrer. Les manipulations se situent au niveau de la nuque elle-même, du dos et même des pieds.

Une nouvelle étape commence lorsqu’elle me demande de plier les jambes et de poser les pieds sur la table.

-          Tu vois Nathalie, la tension peut aussi venir de ce point-là, blablablablablabla…. (Comme il s’agit d’un jargon que je ne maîtrise pas, je simplifie les explications…)

C’est alors qu’elle propose à l’étudiante de faire une partie de la manipulation. Là, ça se corse !

Elle commence à me masser les muscles des mollets et je ne peux que sentir ses mains douces et chaudes… 

-          Monsieur, mettez-vous maintenant sur le ventre.

Je m’exécute et je sens les mains de Mme Gouran sur mon dos, qui descendent, et descendent… Puis elle dit à Nathalie de pendre la suite. Et me voilà en « boxer » en train de me faire tripoter les fesses par une bombe rousse !!!

Je sens des picotements dans mon bas-ventre…. Je dois me concentrer…

-          Vous pouvez vous remettre sur le dos.

Et là, … elle demande à Nathalie de lui indiquer la manip suivante…. Nathalie répond et relève une de mes jambes, passe la main sous mon coccis, et de l’autre manipule mon ventre…

Je me concentre d’autant plus que sa main se rapproche de l’élastique du « boxer »…jusqu’au moment où elle décale légèrement ledit élastique… Oh putain de merde !!!!

Je craque complet !!! Je n’arrive plus à me retenir… j’en arrive presque à ressentir l’afflux de sang dans mon membre…

C’est la fin… ma bite durcit…déforme légèrement le « boxer »… et Mme Gouran :

-          Et bien… !!! On est en forme ! Tu lui fais de l’effet Nathalie !

Lorsque Nathalie voit ma queue dépasser de mon sous-vêtement, elle arrête immédiatement son travail et se recule, quasi aussi gênée que moi… Et moi, tout rouge de honte :

-          Je suis désolé, je ne sais pas….

-          Tu vois Nathalie, ce genre de chose risque de t’arriver de temps en temps. Plus souvent qu’on ne le pense…

-          Vraiment madame, je suis navré, je…

-          C’est bon, c’est bon… C’est pas la première que je vois. Ca arrive même régulièrement. Pas toujours avec de beaux jeunes hommes, mais bon,…. Calmez-vous… Je vais continuer Nathalie.

Et contrairement à ce que je pensais, le fait d’avoir la honte internationale ne m’a pas fait débander. Et comme Mme Gouran reprend la manip, je crois même que ma queue se durcit encore.

Le pire moment : lorsque en « trifouillant » mes intestins, Mme Gouran bouge sa main et que celle-ci se colle contre mon gland bien gros et motivé. Pendant près d’une minute, je sens sa main contre mon sexe !!!

Je ne sais pas si elle l’a fait exprès, mais toujours est-il que la séance se termine et que j’ai toujours la gaule.

-          Ok c’est terminé. Vous pouvez vous rhabiller.

Elle jette un regard au niveau de mon entrejambe et en riant elle me sort :

-          En tout cas, vous tenez la forme !!............... Voyez avec la secrétaire pour un rdv de suivi. Il le faudrait rapidement.

Je dois reconnaître que les manipulations m’ont énormément soulagé. Je suis donc content d’avoir eu un nouveau rdv deux semaines plus tard. Content mais nerveux en raison de ma dernière performance…

Je prends mon courage à deux mains et j’y vais.

J’arrive donc au cabinet où la secrétaire – vraiment charmante – m’annonce que Mme Gouran est malade et que je vais donc voir sa remplaçante. Intrigué je m’installe dans la salle d’attente. Surprise ! C’est Nathalie qui m’appelle !

Elle m’explique que maintenant qu’elle est diplômée, elle s’occupe des remplacements de Mme Gouran. J’ai l’impression qu’elle est un peu gênée…

Je pars donc me changer…je sens déjà ma queue se réveiller…quel bordel !!!

Je reviens dans le cabinet, mon « boxer » en cours de déformation. En réalité, je ne peux m’ôter de l’esprit ce qui s’est passé la dernière fois et cette seule pensée me fait dresser la queue…

Nathalie est vraiment très attirante… Elle est habillée comme la dernière fois… C’est trop tard. Ses superbes seins ont eu raison de moi !!!

Je sens ma queue se redresser avant même qu’elle ne me touche…

Je ferme les yeux pour mieux me concentrer, mais rien n’y fait. Elle se tourne alors vers moi.

-          Ok, All….

Et voilà. Mon gland pointe à nouveau hors du « boxer ».

-          Vraiment…pardon… je suis désolé.. je sais plus où me foutre…

-          Euhhh…. C’est rien… Mettez-vous sur la table

Je m’allonge. Elle commence ses manips. Elle est vraiment très proche de moi…ses seins sont contre mon corps… ses mains sont toujours aussi chaudes… je bande de plus belle…

-          Je ne vous fais pas mal ?

-          Euh non pas du tout…

-          Mme Gouran avait raison….Vous avez la forme…

Je n’en reviens pas.. ! Elle se lâche !!

Et elle s’arrête, me regarde….comme si elle attendait une réponse !!

-          Euh, oui, …. Merci… ?

-          Le fond est-il aussi bon que la forme ?

-          Pardon ?

Sans ajouter un mot, elle reprend ses manipulations. Et comme si de rien n’était, la voilà qui attrape mon « boxer » et doucement le descend, encore, encore, jusqu’à le faire tomber au sol.

Je me contrôle, décide de profiter de l’instant et ne dis rien. Elle reprend sa manip, avec son patient à poil, la queue dressée !

Elle se recule, me regarde dans les yeux, passe les mains sous sa jupe et retire sa petite culotte !!

Elle reprend son travail… Je bande comme un dingue, ma bite est deux fois plus grosse que d’habitude (au moins…) !! Puis elle arrête à nouveau, enlève sa blouse, puis son t-shirt…. Et retire son soutien-gorge !! Sa plantureuse poitrine est totalement offerte à ma vue !!! Quelle splendeur !

-          Oh putain !! Vous êtes magnifique…

-          Je vais essayer une nouvelle méthode…

Je la regarde repartir vers le bureau, fouiller dans son sac à main et revenir vers moi. Elle monte alors sur la table se met debout au–dessus de mon visage… J’aperçois sous sa jupe, sa belle toison de feu… elle se recule et sans prévenir, elle s’accroupit, saisit mon membre, et le recouvre de la capote qu’elle vient juste de récupérer. Puis elle le dirige vers son intimité et tout doucement, vraiment lentement, elle s’empale sur ma virilité au meilleur de sa forme…

Quel délice !! Mon membre disparaît entièrement du premier coup…sa belle petite chatte est inondée de cyprine !!!

Elle remonte puis redescend lentement… j’essaye de profiter de chaque centimètre de son vagin…

Une fois ma bite bien calée au fond de Nathalie, je donne juste un petit coup de bite supplémentaire…

Elle se cambre, saisit ses mamelles :

-          Ahhh oui… Oh oui… Au fond..comme ça… Mmmmhhh Oh putain oui !!!

Elle détache ses cheveux, les secoue comme une amazone se penche vers moi et dit…

-          Je vais m’occuper de toi…

Elle prend ma tête et la presse contre ses seins… Je n’en perds pas une miette !! Je suce ses tétons roses, lèche ses beaux mamelons… Pendant ce temps elle bouge son corps de manière sensuelle… Elle se redresse légèrement, ses deux obus sont à quelques centimètres de mon visage… et elle s’empale comme une forcenée…A chaque coup j’ai l’impression que ma bite est en train de la transpercer.. La table bouge, je sors ma langue et à chacun de ses vas-et-viens, je titille son téton durci. Sa poitrine ballotte… Elle respire bruyamment… Elle prend son pied… Et moi aussi !

Je crois que jamais je ne m’étais aventuré aussi profondément dans une chatte…

Elle se repenche vers moi et je décide de lui bouffer ses mamelles… Elles sont phénoménales !!!

Ma queue est toujours en train de la « crucifier » et elle gémit de plaisir : c’est bien elle qui est aux commandes de sa chevauchée !!

Mes mains étant jusqu’à présent inoccupées, j’attrape ses pieds. De ma main droite je lui enlève sa ballerine… et je laisse libre cours à mon fantasme : allongé, une jeunette fraichement diplômée s’acharnant sur ma verge, ses gros seins mouillée de ma salive tellement je les lèche goulûment, ma main droite caressant son joli petit pied et ma main gauche caressant sa cheville et sa ballerine… OH LE PIED !!

Soudain elle tombe complètement sur moi, haletante, tous les muscles bandés, étouffant un hurlement (sur ce coup je n’exagère pas) dans le coussin…

Ses mouvements de bassin deviennent lents, elle me regarde :

-          Pas encore fini ?

-          Je te veux encore…

Elle descend, posant de petits baisers sur mon torse, mon pubis…

Elle enlève la capote et place ma bite entre ses deux melons… Elle laisse couler un peu de salive sur mon gland et entreprend une bonne branlette espagnole… Ses seins sont si volumineux que mon sexe en émerge à peine !!

Elle me sourit et je me laisse complètement aller…. J’étouffe mon râle dans ma main, elle fait disparaitre mon sexe dans ses seins et récupère ma semence directement « dans » sa poitrine. Quand elle se redresse, mon sperme macule sa poitrine, coule vers son ventre.

Elle s’essuie puis se rhabille.

-          La séance est terminée.

-          Je dois reprendre un rdv de suivi ?

Je pose cette question un grand sourire aux lèvres, la bite pas encore totalement au repos.

Jouant le jeu, elle me répond en me faisant un clin d’œil :

-          Je pense que se serait une bonne idée…

Malheureusement, pour moi, toutes mes autres séances ont été faîte par Mme Gouran, Nathalie ayant finalement quitté la région. Mais comme ce cabinet ne cessait de me rappeler cette histoire, à chaque séance, je bandais… Et devinez quoi ? Au bout de la cinquième fois, Mme Gouran a craqué et m’a gratifié d’une très agréable branlette…un peu spéciale.

Si ça vous intéresse, je peux vous la raconter...

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : HISTOIRES - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Mardi 20 décembre 2 20 /12 /Déc 17:25

Voilà maintenant quelques semaines que j’ai quitté la coloc’. Vous le savez, en quittant une location, le plus dur est de récupérer sa caution.

Je n’échappe pas à la règle.  N’y tenant plus, j’appelle une nouvelle fois Mme Morin, la proprio.

Et là, surprise, elle me dit de passer dans la journée pour récupérer mon chèque… Même pas eu besoin de râler !!

Je me présente donc à mon ancien immeuble (Mme Morin habite au-dessus de la coloc’) vers 14h. Je sonne d’abord à mon ancien appart pour voir si les amis sont là. Malheureusement, personne ne m’ouvre.

Je sonne donc chez les Morin. La porte s’ouvre et je m’engage dans l’escalier. C’est un immeuble ancien mais plutôt bien entretenu. L’escalier est entièrement en bois et presque chaque marche grince à réveiller les morts. Impossible de passer inaperçu !!

Vous voyez le genre de bâtiment ; ancien avec un seul appart par niveau, pas d’ascenseur… Vous imaginez donc que M & Mme Morin sont des gens d’une certaine stature, étant donné que l’immeuble leur appartient…

Durant mon séjour dans la coloc’, je n’ai pas eu beaucoup affaire à eux. Les seules fois ont été à la signature du bail et à l’état des lieux de sortie (qui d’ailleurs s’est très bien passé). Dans ces cas-là, c’est systématiquement madame, qui gère la situation. Je n’ai vu M. Morin que lorsqu’on se croisait par hasard dans les escaliers.

Me voilà donc arriver devant leur porte. Celle-ci est entrouverte… Je m’en approche doucement et au moment où j’avance ma main, la porte s’ouvre d’un coup et je manque de percuter M. Morin de plein fouet !

Je l’ai échappé belle car il est immense. Ce bonhomme fait environ 2 mètres et il est plutôt costaud. Je dirais même qu’il a un peu de ventre. Malgré cela je dois avouer qu’il est impressionnant. Et sa grosse voix ne fait que rajouter à sa stature.

Il s’arrête net, me regarde et dit :

-          Je peux vous aider ?

-          Bonjour, je suis Franck…. Vous vous souvenez ? J’ai habité la coloc, jusqu’il y a quelques semaines…

-          Mais bien-sûr !! Comment allez-vous ?

-          Bien merci. Je suis venu pour la caution…

-          Oh, C’est Nadine qui s’occupe de ça… Elle a plus de patience que moi. Entrez donc. Elle doit probablement vous attendre.

-          Merci.

Je m’avance dans l’appart et contrairement à ce que je pensais, M. Morin ne me suit pas. Il s’en va en lançant un « au-revoir » rapide.

Je reste un moment sur place, sans savoir quoi faire. Se retrouver comme ça seul, chez des gens qu’on connait pas… Il ne m’a même pas annoncé… Et comme je n’ai pas donné d’heure à Mme Morin, elle ne sait pas que je suis là…

Au bout d’une minute environ, comme personne ne s’est approché, je me décide à ressortir de l’appart pour sonner à nouveau. Mais c’est alors que j’entends :

-          Eh bien ?! Entre Franck. Tu ne vas pas rester dans le couloir indéfiniment !

Mme Morin. Elle a du m’entendre discuter avec son mari. Je m’aventure donc plus en avant dans le logement.

-          Bonjour …

Personne ne répond. Je m’avance encore.

-          Mme Morin ?

-          Oui je suis là. Dans la cuisine.

Etant donné que la coloc’ est située juste en-dessous, je continue à avancer dans le long couloir sombre en me disant que la cuisine devrait être au même endroit. Je passe donc devant la grande salle de bains. La porte est ouverte. Je ne peux m’empêcher de noter que quelqu’un vient de prendre une douche…

J’arrive devant la cuisine. Effectivement, Mme Morin est là, en train de vider le lave-vaisselle. Jusque-là rien de surprenant…mais je reste coi devant un autre point : sa tenue.

Dois-je rappeler que M. & Mme Morin sont des personnes d’une cinquantaine d’années – Madame peut-être un peu moins (45 ans) – ayant beaucoup d’argent. Monsieur étant toujours habillé de manière impeccable, on s’attend à ce que sa femme fasse de même. Il est vrai que lorsque je l’ai rencontré auparavant, elle était toujours vêtue de manière classique, classe mais pas ostentatoire. C’est la première fois que je rencontre la « ménagère de moins de 50 ans » dans son milieu naturel, son habitat……

En partant du bas, elle porte des espèces de « pantoufles » à talon aiguille avec une sorte de pompon sur le devant. Le truc hyper « kitsch » !! Par contre, je ne peux rater ses jambes… Je n’avais jamais remarqué qu’elles étaient si fines… Elle porte un collant en résille pailleté qui je dois le dire, fait un peu « pute ». Enfin elle porte un peignoir fin en soie, un peu style asiatique, noir avec des fleurs fushia.

Elle se retourne. Elle est blonde, avec les cheveux longs, de jolis yeux. C’est une phrase bête mais elle ne fait pas son âge. Elle est même assez jolie….

Disons le franchement, sur le coup, elle me fait envie.

Elle s’approche et me tend la main.

-          Comment vas-tu ?

-          Bien, ……bien merci.

En lui serrant la main, je remarque qu’elle a la peau douce. Ses mains et ses bras sont bronzés.

-          J’ai de suite fini avec la vaisselle et je m’occupe de toi.

Sur le coup, je n’ai pas relevé le double sens possible de cette expression : « je m’occupe de toi »

Elle retourne alors vers son lave-vaisselle, se penche pour prendre les assiettes…. Ah ! Petite erreur de ma part : elle n’a pas de collant…. Il s’agit de bas…

La vision a été brève mais superbe. En réalité, cette madame Morin est carrément bien gaulée !!!

Et en parlant de gaule, la vue de ses jolies cuisses à fait trembler mon caleçon !

-          Et voilà. Viens. Suis-moi pour ton chèque.

-          OK

Elle repart dans le couloir et au lieu de se diriger dans le salon, elle tourne à droite et rentre dans ce qui doit être une chambre d’ami : un lit, une armoire, mais pas de signe d’occupation permanente de la pièce. Elle me désigne la commode :

-          Le chèque est là

-          Merci, je ….. Ah Mme Morin, je crois qu’il y a une erreur…

Je me tourne vers elle mais ne peut finir ma phrase correctement. En effet, pendant que je regardais mon chèque, elle s’est allongée sur le lit…

-          Une erreur ?

-          Euh oui… C’est un chèque de 300 euros.

-          Oui…

-          Mais j’avais laissé une caution de 600 euros…

-          C’est vrai mais j’ai été obligée de faire une retenue…

-          Pourquoi ? A l’état des lieux tout allait bien… Je comprends pas.

Elle bouge doucement ses jambes et son peignoir remonte légèrement, laissant apparaître le haut des bas… Non je ne dois pas regarder !! J’ai besoin de ces 600 euros.

-          Eh oui Franck. J’ai fait une retenue à cause des nuisances sonores.

-          Pardon ? Quelles nuisances ?

-          Tu sais que ces vieux immeubles sont mal isolés… Je les ai entendues crier tes « copines » !!

 

Je reste bouche bée. Que voulez-vous répondre ? Je la regarde incrédule, sans rien dire.

-          Tu veux récupérer la totalité ?

-          …..Oui….

-          Très bien. Alors à poil !

WHAT !! Qu’est ce qu’elle me raconte ?

-          A poil j’ai dit !! Obéis et tu auras ta caution. Je suis curieuse de voir comment tu les fais crier aussi fort…

Vous me connaissez maintenant. Je peux pas résister.

Je commence à me déshabiller… Elle n’en perd pas une miette… Je sens son regard et ça m’excite encore plus… Ma bite est maintenant bien raide… elle déforme clairement mon caleçon…

En jetant mon pantalon, l’appareil photo qui ne me quitte jamais s’échappe de la poche.

-          Tu aimes les photos mon mignon ?

-          Oui madame Morin, je…

-          Appelle-moi Nadine… Vu ce que je prévois pour la suite, tu ne pourras pas continuer avec « madame »… Bon…. Cette verge qui dépasse du caleçon semble intéressante…

Son regard se durcit.

-          Tu attends quoi ? J’ai dit à poil ! Et profites-en pour faire une petite photo… Je te l’offre…

coloc - Nadine 01

Me voilà nu comme un ver, la bite fièrement dressée et la photo dans la boîte.

-          Approche….

Je me tiens debout devant le lit. Elle me regarde droit dans les yeux. Elle ouvre son peignoir… Dessous elle ne porte qu’un soutien-gorge noir simple. Elle écarte les cuisses…

-          Mon sexe te plait ? Masturbes-toi mon petit…

Je m’exécute. Mon regard ne quitte pas son entrecuisse. Sa chatte est poilue, fournie, tentante…

Je prends du plaisir à m’exhiber ainsi :

-          Oh oui Nadine, ta chatte !! MMmhhh !! Tu es ……

-          Je ne t’ai pas autorisé à me tutoyer… Petit insolent… Mets-toi à genoux… là juste à côté de moi…

Je me déplace vers le côté du lit, me mets à genoux. Elle pose sa main sur ma joue, me caresse, glisse son doigt dans ma bouche, le retire… le glisse à présent entre ses cuisses puis le remets dans ma bouche puis dans la sienne….sa chatte, ma bouche puis la sienne, encore….

Ce petit jeu dure quelque temps… Elle sourit toujours…. Je suis au supplice… Et elle me libère…

-          Monte sur le lit, viens frotter ce beau sexe sur moi…

Je me mets à ses pieds et lentement je pose ma queue sur sa jambe… je me frotte a ses bas comme un chien…mais c’est si excitant !! Je descends, pour venir me frotter sur son pied… elle apprécie et soupire d’aise… Je m’enhardi et prends son autre pied dans ma main pour le porter à ma bouche… Je lui lèche les orteils à travers la résille….

-          Tu te débrouilles bien mais je veux crier… Allonges-toi sur moi…

Je me penche donc vers elle.

-          Non dans l’autre sens mon mignon…

Quelle bonne idée !! Un « 69 » !!

J’opère donc la manœuvre et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve le nez dans sa chatte, ma bite dans sa bouche !!!!

Contrairement à une assoiffée de sexe en manque, elle me lèche délicatement le gland, s’attarde sur le frein, comme si elle se délectait de mon membre…

Je ne peux pas en dire autant. Je lui bouffe littéralement la chatte !!! J’ai la confirmation  qu’elle vient de prendre une douche : sa vulve sent le savon aux fruits !!!

Je lui aspire le clitoris, le titille de ma langue. De mes deux mains, j’écarte ses lèvres pour mieux la déguster…

De son côté, elle continue sa lente fellation. Ses lèvres sont expertes !!! Elle s’occupe de moi avec délicatesse et précision.

-          Nadine…. Oh ouais !! Encore oui comme ça !!! Tu….Vous êtes trop douée !!!

-          Continues à me goûter…. Tu m’entends crier ? Alors j’en veux plus !!!

Ah tu en veux plus… Comme un déchaîné, je me plonge dans son antre…. J’ouvre la bouche au maximum pour la bouffer le plus possible. Elle mouille fort, sa liqueur est toute chaude…. Je ne peux plus m’arrêter. Sa grosse chatte poilue est délicieuse !!!

Elle a stoppé sa pipe (il valait mieux d’ailleurs si elle ne voulait pas que je craque immédiatement !) et me branles doucement, presque tendrement…..

Je suis en transe… Je lèche ses lèvres humides, sa vulve, son pubis, ses poils, rien ne m’arrête plus maintenant. Soudain, je sens une pression sur ma tête… Elle a posé son pied et m’appuie le visage encore plus sur sa chatte…

-          Encore mon petit !!! Plus fort !!

Elle pousse de plus en plus, j’ai tout le visage pris dans sa chatte… Je suis au bord de l’étouffement… mais excité comme un puceau !!!

Pour me libérer, je pose ma bite sur son visage et appuie moi aussi…

Réaction opposée à mes prévisions… Elle aussi se met à lécher frénétiquement cette queue pressée contre sa bouche…

Elle relâche enfin sa pression…

Je reprends ma respiration. Elle serre ma queue dans sa main droite et mes couilles dans sa main gauche, et lape mon gland comme une glace à l’eau…

Sans prévenir, elle me repousse sur le côté et m’annonce le programme :

-          Mets-toi entre mes cuisses…

-          Comme vous voulez…

Et en me déplaçant sur le lit, le choc !! M. Morin se tient dans l’encadrement de la porte… le pantalon aux chevilles, en train de se branler avec un large sourire !!

Nadine reprend le dessus :

-          Tu attends quoi mon beau ? Entre mes jambes…

Je me positionne à genoux en face d’elle, lève ses jambes, les pose sur mes épaules et sans réfléchir plus longtemps, je glisse ma bite entre ses lèvres…. Et je la baise.

Je la pénètre d’abord « normalement », tout en embrassant ses cuisses et léchant ses bas.

-          Nadine, je peux enlever vos bas ? je veux goûter ta…votre peau.

-          Bonne idée.

Je continue à la pénétrer, sa chatte est ouverte et accueillante…. Pendant de temps, je lui ôte ses bas, pose un baiser sur son mollet puis je lui lèche les jambes.  Elle respire fort mais aucun gémissement ne s’échappe… J’écarte alors encore plus ses jambes, les positionnent de part et d’autre de moi, me penche en arrière et donne des coups de butoirs plus violents…

-          Ohh !! Oui !! Franck…. C’est mieux….

J’aperçois mon appareil à côté de moi.

coloc - Nadine 02

Une photo plus tard, je redouble de vigueur dans mes assauts.

Toujours aucun cri… Mais c’est alors qu’elle se saisit de son peignoir et le mets en bouche… comme pour étouffer son plaisir…

Je ne sais pas pourquoi, mais la vue de cette femme étouffant ses cris a eu raison de mon endurance.

Rapidement je sors mon sexe et éjacule directement sur sa toison brune, dans une extase de jouissance.

Elle retire le tissu de sa bouche et me sourit.

-          Pas mal… Mais pas de quoi hurler comme une démente, comme tes petites copines…

-          Désolé Nadine… Moi j’ai pris mon pied…

-          Tu as bien raison…

Je me lève, quitte le lit et en le voyant à nouveau je me souviens de son mari, qui se branle à l’entrée de la pièce. Il s’approche d’elle et dans un râle d’ours en rut, se décharge sur le soutien gorge de sa femme.

Une fois monsieur bien vidé, Nadine se lève.

-          Et voilà un soutien tout neuf…

Elle commence à l’enlever au moment ou M. Morin, muni de mon appareil, immortalise la scène.

coloc - Nadine 03

Nadine nous quitte et très vite j’entends la douche.

Me voilà dans une scène complètement surréaliste ; nu dans une chambre avec un mec de 50 ans, nu lui aussi…

Je me rhabille illico presto.

Pas gêné du tout, il me tend deux chèques de 300 euros.

-          Comme promis… 


Par FRANCK LESTAT - Publié dans : HISTOIRES - Communauté : FEMMES MATURES, ON VOUS AIME
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Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 20:09

Et oui les amis!!! Une nouvelle petite histoire.

 

Dites moi si ça vous plait......quel effet cela vous fait!!!

Vos coms et votre participation au blog sont ma plus grande satisfaction.

 

Mon frère est marié depuis maintenant plusieurs années. Il est plus âgé que moi et vit à quelques kilomètres de mes parents. Nous sommes très proches. On se voit souvent les week-ends pour différentes activités, sportives ou de loisir.

Lorsqu’on se voit, cependant, c’est uniquement tous les deux. Sa femme, Solange, ou ma copine du moment, ne sont jamais présentes.

Solange, d’ailleurs est une femme relativement « banale ». D’un physique agréable mais pas extraordinaire, gentille, intelligente… vous voyez le style : passe partout.

Ce vendredi soir, mon frangin me téléphone et m’invite à venir manger chez lui le lendemain midi. Il me dit qu’on se fera un repas rapide et qu’on partira se faire du VTT dans l’après-midi.

Ravi, j’accepte immédiatement. Il faut savoir que mon anniversaire est dans moins d’une semaine et je le soupçonne de vouloir m’emmener pour faire la fête…

Le lendemain, vers 11h30, je me pointe chez lui. Il habite un grand appartement au dernier étage d’un immeuble assez « classe ».

Comme je suis plutôt un habitué, je connais le code pour entrer. Je me retrouve devant chez lui. Je sonne.

Personne ne vient m’ouvrir. Pourtant j’entends du bruit, la radio ou la télé… Je sonne à nouveau. Rien ne se passe. Je commence à m’inquiéter. Mon frère doit m’attendre et j’entends du bruit.

Je me souviens alors qu’il m’a dit un jour conserver un double des clés caché dans la gaine technique du palier, derrière son compteur d’eau.

Je me dépêche, récupère la clé et ouvre la porte. Effectivement, la télé est allumée sur une chaîne musicale. Je rentre dans le salon : personne.

-         Il y a quelqu’un ?

-         Euhh…. Oui….

-         Solange ? T’es où ?

-         Dans le bureau…

Intrigué, j’entre dans le bureau. La surprise est de taille !!!

Contre le mur au fond de la pièce, j’aperçois Solange…

Elle a les bras relevés, et les mains attachées à une barre – fixée dans le mur – par une chaîne…. Autour de son cou, un collier en cuir. Pour tout vêtement, elle ne porte qu’une ceinture et des bas résille blancs. Elle semble très gênée et essaye de dissimuler son corps du mieux qu’elle peut….sans grand succès, je dois l’avouer.

Elle se tortille, essaye de se retourner….Mais j’ai une vue imprenable sur ses seins. Ils sont énormes !!! Je ne m’en étais jamais rendu compte auparavant. Ils sont lourds, blancs avec des auréoles gigantesques et des tétons proéminents… Quelle paire !!!

Son ventre, légèrement rond est orné d’un tatouage en forme de soleil autour du nombril. Mon regard descend encore… Malgré ses jambes croisées, j’aperçois sa toison. Solange est donc une vraie blonde… Son pubis est taillé mais les poils sont très longs et la toison semble du coup très fournie.

Elle ne m’a jamais attiré physiquement, mais la voir attachée ainsi m’excite. Ma bite gonfle…

-         Euhh Franck ? Tu peux m’aider s’il te plaît. C’est assez gênant. Paul m’a laissé en plan depuis ce matin…

-         B…B…Bien sûr.

J’essaye de me ressaisir et je m’approche pour tenter de la libérer.

-         Les clés sont sur le bureau.

Je vais pour prendre les clés et je vois qu’elles sont posées sur une enveloppe marquée de mon prénom.

Je regarde Solange, puis l’enveloppe, puis à nouveau ma belle-sœur. Elle ne rougit plus vraiment, et se tortille moins, beaucoup moins…

Je suis perplexe. J’ouvre l’enveloppe et trouve une lettre :

 

« Franck,

 

Je sais que c’est bientôt ton anniversaire et je voulais te faire un cadeau spécial. Donc…

Bon anniversaire !!!!

Si tu ne l’as pas encore deviné, ton cadeau est attaché au mur. Fais-en ce que tu voudras… Elle est ouverte à toutes propositions…

Tu peux la détacher sans risque, elle est bien dressée et restera obéissante.

Profites-en bien petit frère ! 

 

Paul»

 

J’en reste coi… Je dois rêver !!??? Je relis la lettre plusieurs fois pour être sûr de ne pas avoir de vision…

Machinalement, je retourne la feuille de papier. Une ligne est écrite au dos :

 

« PS. Si tu as retourné la feuille, c’est que tu hésites. Je te fais une confidence : C’est Solange qui a eu l’idée du cadeau… »

 

Le choc. Je me retourne vers elle. Elle me sourit en me regardant droit dans les yeux. Au lieu de honte ou de gêne, je n’y lis que désir et …..soumission.

Je m’approche d’elle. Ma queue me fait mal, coincée dans mon caleçon.

Je tends une main vers son sein et le saisi délicatement. Sa peau est douce. Elle soupire. J’attrape son joli téton et le serre doucement, le tire vers moi… Ma main droite est très vite imitée par la gauche. Je n’ai jamais participé à une séance de domination/soumission. Je ne sais pas jusqu’où je dois – je peux – aller.

Me voilà avec ses tétons entre les doigts, tirant légèrement dessus.

-         Oh Maître. J’ai été vilaine…

C’est ce qui m’a décidé. Je vais me faire plaisir. Après tout, c’est mon cadeau…

-         Tu es une méchante fille. Je vais être obligé de te punir sévèrement…

-         Oui Maître…

Je pince ses tétons et tire plus fort dessus. Elle gémit, mais continues de sourire en me fixant dans le blanc des yeux.

De ma main droite, je l’attrape par la queue de cheval, et tend son visage vers le mien. Je m’approche et glisse ma langue dans sa bouche. Elle se soumet. Je l’embrasse comme un mort de faim, ma main délaisse son téton et je lui pétris les mamelles. Je me laisse aller. Je malaxe sa poitrine comme un dingue, ne cessant de l’embrasser. Je retire ma bouche. Elle halète. Je me jette sur un de ses seins et le mordille méthodiquement. Ma langue remonte vers son cou puis redescend vers l’autre mamelle. Sa poitrine est mouillée, tellement ma langue la parcours et l’explore. Je mords ses tétons de plus en plus fort. Elle  crie : Oh Maître !!! Punis-moi !! Ahhhhhh !!!!

Je l’embrasse à nouveau comme un animal. Elle suce ma langue, la lèche. Mes mains pétrissent cette poitrine généreuse. Je m’écarte, prends son visage dans ma main droite et place ma main gauche entre ses cuisses. Je glisse sans ménagement directement deux doigts dans son intimité. Elle est trempée la chienne !!! Mes doigts s’enfoncent si facilement qu’on les croirait aspirer par sa vulve.

-         Tu mouilles comme une folle !!! Ca t’excite d’être soumise….

-         Oh Franck !!! Maître….

Je retire mes doigts, imbibés de cyprine et les posent sur ses lèvres. Sans se faire prier, elle les lèche, les engloutis entièrement, en poussant de longs gémissements de plaisir.

-         Tu aimes l’odeur de ta chatte ? Je vais goûter pour voir si c’est bon…

-         Mmmhhhhh….

Je me mets à genoux et passe ma langue sur sa vulve, chaude et humide. En effet, sa liqueur intime est délicieuse !!! Je bois à sa source. J’aspire son clito, écarte ses lèvres, enfonce ma langue dans son vagin…

-         Oui mon Maître…. Mange-moi… Je suis à toi….

Mon visage est enseveli dans sa chair. Je respire son odeur de chatte en chaleur à pleins poumons, je me gave de son liquide vaginal. Quand je sens que son corps entre en transe, je stoppe ma « dégustation », ne la laissant pas jouir complètement.

Je colle mon visage au sien pour qu’elle le nettoie de sa cyprine. Elle s’acquitte de sa tâche avec délectation.

Je place sa cuisse contre mon entrejambe.

-         Tu sens dans quel état tu m’as mis !!! Il va falloir trouver un moyen de me soulager… Retourne-toi !!!

Elle obéit mais tourne la tête pour continuer à me regarder.

Je me déshabille complètement. Mon membre est dressé vers le plafond, dur comme jamais. Je ne pensais pas me sentir si bouillant en dominant une « femelle » soumise…

-         Oommmmmhhhhh, Franck…. Je veux te sentir….profondément en moi…

Je ne suis plus vraiment moi-même. Emporté par le désir, une idée perverse me vient : je veux la sodomiser.

Je lui donne ma main, la mets dans sa bouche. Elle suce, lèche, gobe. Une fois ma main trempée, j’enduis ma verge de sa salive, la présente devant sa rosette, et pousse….lentement mais sûrement.

Surprise, elle pousse un cri. Je m’enfonce dans son trou de cul. Ma bite force le passage, mais sans violence. Ma queue disparaît progressivement dans son anus sans jamais faire de pause. Elle crie à nouveau, plus fort.

-         OOhhhh salaud… OOhhh Maître… Oui prend-moi !!! AAhhhh c’que t’es gros…

-         J’aime ton cul Solange….

-         JE VEUX TA BITE !!!!!!! FRANCK, DEFONCES-MOI !!!!

Un grand coup de rein et me voilà entièrement en elle. Je ne m’arrête pas là. Je la besogne consciencieusement… mon pubis venant claquer contre son gros cul.

De ma main droite je lui saisis les cheveux et tire sa tête en arrière. Elle se cambre et vient s’empaler encore plus sur mon pieu de chair. Ma main gauche attrape sa bouche et glisse trois doigts au fond de sa gorge.

Voilà son cul bien dilaté. Ma queue accélère le mouvement. Je l’encule aussi fort que je peux. Je lâche sa queue de cheval et lui assène une énorme claque sur les fesses. Une belle marque rouge apparaît et devrait rester quelques jours. Un grand râle me signifie que ma belle-sœur vient de prendre son pied.

Je me retire, prends la clé et lui détache les mains.

-         A genoux.

Je pose ma bite sur sa bouche entrouverte.

-         Ma bite est sale. Nettoie !

Elle l’avale d’un seul coup et s’applique à m’obéir.

-         En plus de ta chatte, tu aimes le goût de ton cul on dirait…

Elle redouble d’efforts. Sa pipe est phénoménale. De mes deux mains, j’appuie sa tête contre moi et ma verge vient presque taper le fond de sa gorge. Je la maintiens dans cette position. Elle ne bronche pas. Au bout de quelques secondes, je relâche ma pression. A mon étonnement, elle ne se retire pas et appuie même plus fort. Je sens sa gorge autour de mon membre et sa langue s’activer dans sa bouche.

Je ne tiens plus. Je la tire en arrière et la positionne en face de mon gland turgescent. De grandes giclées de sperme viennent lui recouvrir le visage. Elle ouvre la bouche, lèche ses lèvres…

Je me recule et m’appuie sur le bureau. Elle me sourit, radieuse, et enlève tout le sperme avec sa main et le laisse dégouliner sur sa bouche. En même temps, elle recrache une partie de ma semence, qui vient souiller ses seins. Puis elle récupère le tout, le met une fois de plus en bouche et l’avale en souriant et me fixant de ses grands yeux verts.

Elle se lève alors, s’approche d’une étagère et attrape…une caméra !!!

Je n’avais rien vu !!! Elle sort la carte mémoire, me la tends et me lance en faisant un clin d’œil :

         - Joyeux anniversaire Franck !!! Vivement ton cadeau de Noël…

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : HISTOIRES - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Lundi 13 septembre 1 13 /09 /Sep 13:54

Nous sommes en pleine période de congés estivaux. Comme dans la majorité des entreprises, beaucoup de personnes sont parties et certains postes sont en sous-effectifs.

Dans ce genre de situation, on  a souvent recours à des intérimaires ou – et les patrons préfèrent de genre de solution moins onéreuse – à des stagiaires.

Ce matin, mon patron, vient me voir en me disant qu’un de nos bons clients à une nièce qui cherche un stage dans mon domaine de compétence.

Ne pouvant refuser cela à un client, il m’informe que cette stagiaire prénommée Marie se présentera le lundi 02 août 2010 pour un stage de 6 semaines.

Le jour en question arrive. J’ai préparé une liste de tâches et d’objectifs longue comme le bras. J’aime beaucoup avoir des stagiaires. Cela me rappelle lorsque moi-même j’étais à leur place. Généralement je fais de mon mieux pour leur apprendre quelque chose. On frappe à la porte de mon bureau.

Une petite jeune fille brune, avec des lunettes rouges, se présente devant moi.

-         Bonjour.

-         Bonjour. Tu es Marie je suppose ?

-         Oui.

Vous savez maintenant que je suis ce qu’on peut appeler un obsédé du corps féminin. Je ne peux donc pas m’empêcher de regarder cette petite stagiaire de plus près.

A peine 20 ans, fraîche, pas très grande, dans les 1m65. Des cheveux longs mais ramené en chignon rapide, des yeux verts, des lèvres fines. Elle est mince mais pas squelettique. Sa poitrine est petite, mais compte tenu de son âge, elle doit être bien ferme. Là où j’en prends plein les yeux, c’est le côté pile : son petit cul, bien moulée dans son jean’s, est splendide. Un cul juste assez gros pour me donner envie de m’en saisir à pleines mains et le pétrir avec force…

Mais bon, je ne peux pas me taper tout ce que je vois, donc je passe à autre chose.

Voilà une semaine que Marie arpente nos couloirs. Je n’ai rien à lui reprocher : elle est vraiment gentille et efficace. Mes contrôles de son travail sont de moins en moins détaillés. A vrai dire, la seule chose que me rend triste, c’est qu’elle ne vient jamais en jupe. Toujours ses jean’s. Malgré tout, elle continue d’attirer mon regard sur son joli postérieur mais aussi sur ses pieds.

En effet, je suis un peu fétichiste des pieds féminins ; je les trouve très érotiques. Et il se trouve que la petite Marie – il fallait que je la fasse – porte chaque jour de petites ballerines, sans chaussettes. J’en suis fou. Le pire – ou le mieux – c’est quand on fait le point ou qu’elle vient me poser une question. On parle et puis d’un coup, inconsciemment, elle ôte une de ses ballerines et vient frotter son pied nu sur sa jambe, ou son autre pied… Quand elle fait ça, je sens mon regard être attiré et mon bas-ventre se réveiller…

En plus, je trouve ses pieds magnifiques, sensuels…

Je ne sais pas si – en langage corporel – cela veut dire quelque chose mais j’ai remarqué que beaucoup de femmes faisaient ce geste, et que cela m’a toujours excité.

Avant de continuer, il faut savoir que je travaille dans un domaine, où on est amené relativement souvent à changer de chaussures pour enfiler des chaussures de sécurité.

N’ayant pas de vestiaires, généralement mes chaussures sont dans mon bureau. Il en va de même pour Marie.

2 semaines environ après son arrivée, elle enfile pour la première fois ses nouvelles chaussures de sécurité….dans mon bureau. J’avoue n’avoir rien raté du spectacle.

Faisant mine de m’intéresser à un document posé sur mon bureau, mon regard ne la lâche pas. Elle enlève sa ballerine droite ; la vue de ce pied si menu fait gonfler ma bite. Elle enfile sa chaussette puis glisse son pied dans la chaussure. Evidemment, un manège identique se déroule pour le pied gauche. Mon sexe commence à déformer mon pantalon. La bosse sera bientôt visible.

Fin prête, Marie sort du bureau. Il est déjà 17heures… il n’y a plus grand monde dans le coin…. Je sais qu’elle ne reviendra pas avant un bon quart d’heure…

Je craque.

Je me lève, je saisis une ballerine et – chose que je n’ai jamais fait avant – je la porte à mon visage. Je renifle… même l’odeur de ses pieds me fait bander encore plus fort. Je passe ma main à l’intérieur et pris d’une envie soudaine, je la glisse dans mon pantalon et la frotte sur ma verge en érection. Je repose la chaussure et m’empare de la seconde ballerine. Je prends plus de risques cette fois : je déboutonne mon pantalon, sort ma queue du caleçon et je l’introduis dans la ballerine, mon gland vient taper le fond et le plaisir s’accentue…

De mon autre main, je reprends la première chaussure et la porte à nouveau à mon nez. Imaginez la scène. Un homme debout dans son bureau, en train de renifler une chaussure et de se branler avec la deuxième… sous le coup de l’excitation, je ne remarque pas le « ridicule » de la situation. Ma bite se frotte sur le fond de la ballerine et le plaisir continue de monter, de monter et encore monter….

Dans un sursaut de lucidité, je retire ma verge juste à temps !!

Une belle giclée de sperme jaillit de mon gland surchauffé et vient salir le sol du bureau…

Je me remets doucement de mon plaisir solitaire, me rhabille, essuie les tâches sur le sol et m’apprête à remettre les ballerines à leur place…

La porte s’ouvre. Marie rentre dans le bureau. Je suis pris ; me voilà accroupi, les ballerines de la stagiaire en main. Marie me regarde, incrédule…

Je me sens obligé de me justifier :

-         j’ai tapé dans tes chaussures sans faire gaffe. Je suis désolé.

-         Ah….Euh pas de problème.

Je retourne à mon bureau. Marie enlève ses chaussures de sécurité et remets ses ballerines. Au moment où elle enfile la première, elle pousse un cri :

-         Ahhhhh !!! Mais qu’est-ce que c’est !!!????

-         Qu’est ce qui t’arrive ?

Je deviens rouge, probablement de honte… Elle retire son pied, mets sa main dans la chaussure et la sort avec un fluide gluant au bout des doigts… Je sais plus où me mettre. Je n’avais pas senti que j’avais en partie éjaculé dans la ballerine…

Elle me regarde, puis à nouveau ses doigts.

-         Euh Marie, …

-         Mais c’est du…. Putain !! C’est du sperme ???!!!!

-         Ecoutes, je…

-         C’est dégueulasse !!! T’es un pervers !!!

-         Mais…

-         T’aurais pu nettoyer au moins….

-         Je…

Je ne sais pas quoi répondre. « T’aurais pu nettoyer au moins » ? C’est tout ce qui la dérange ?

-         J’ai bien vu que tu matais mes pieds, mais de là à jouir dans mes chaussures.

-         Excuse-moi.

-         Ils te plaisent alors ?

Elle s’approche du bureau. S’assoie dessus en ramenant ses genoux, posant ainsi ses pieds nus – dont un souillé – sur le bureau. J’en profite. Je me rapproche d’elle, passe ses mains sur ses jambes, me penche vers son visage. Sans difficulté, ma langue glisse entre ses lèvres. Nous nous embrassons un moment, mes mains parcourant ses seins, sa chute de reins, ses cuisses. Sans réfléchir, tout en l’embrassant, je prends sa main. J’ai un mouvement de recul lorsque me doigts entre en contact avec ma semence, mais elle attrape mes doigts. Elle déboutonne ma chemise, sans me lâcher la main, me repousse doucement, et pose son pied souillé sur ma poitrine.

-         Il faut nettoyer… et ôter ce pantalon…

Je m’exécute. Pendant ce temps, elle aussi ôte son t-shirt et caresse mon torse de son pied. Grâce au sperme, sa plante glisse facilement de mon ventre à ma poitrine. Je me retrouve à poil. Elle, en soutien-gorge et jean’s, me scrute.

-         Belle bite…Mais elle est toute sale… Il faut nettoyer….

J’en reste sans voix, elle descend du bureau, s’agenouille et sans user de ses mains, avale entièrement ma queue – faut-il le dire – raide comme un piquet !!!!

La petite stagiaire est en train de nettoyer les résidus de sperme sur ma verge avec sa langue !!! Elle pompe mon dard sans s’arrêter. Sa langue s’enroule autour de mon gland, ses vas-et-viens sont rapides et profonds….

-         Oh merde !! Marie, Oh putain oui !!!!!

Elle se relève rapidement. Dans un râle étouffé, j’éjacule à nouveau… Mon sperme vient se répandre en grande partie sur son jean’s… Elle sourit. Quelle garce !!

-         Il est sale maintenant… Je peux pas le garder comme ça.

Elle enlève son pantalon. Elle porte une jolie petite culotte transparente. Je l’attrape, je la soulève – son corps est chaud et sa peau douce – et la pose sur le bureau.

Je prends son pied dans mes mains. Je le caresse, le masse. Elle pose l’autre sur mon visage. Je le prends dans ma bouche, lèche chacun de ses orteils. Elle gémit doucement.

-         Ca t’excite hein !! Tu les kiffes mes pieds…  J’espère que ta bite est encore en forme.

Je baisse mon regard vers mon bas-ventre. La voilà au garde-à-vous !!! Je lui souris :

-         Mets-toi à quatre pattes.

Pendant qu’elle se retourne, je sors une capote du tiroir, l’enfile sur ma bite, lui retire sa culotte, monte sur le bureau et présente mon gland devant sa fente.

L’orifice est humide, bouillant. Ma verge pénètre cette jeunette délicatement mais sans rencontrer de résistance.

Son petit cul, si torride se dresse devant mes yeux. Je saisis une fesse dans chaque main, écarte bien sa croupe et lui assène de grands coups de bite. Mes bourses viennent frapper sa vulve émettant un « plac » régulier.

Après deux éjaculations à la suite, j’avoue que je me concentre pour garder mon pieu bien raide. Mon objectif est de la faire crier.

Je redouble d’efforts. Mes coups de boutoirs en deviennent presque violents. Elle halète mais ne semble pas craquer. Elle gémit de plus en plus fort :

-         Oh ouais !!! Ouhhh oui comme ça……ahhhhhhh, encore, oui….

Ma main droite se glisse sur son ventre puis descend vers sa petite chatte. J’attrape son clitoris et le titille de mes doigts.

-         Ouhhhh….Mmmmmhh

-         C’est ça qui te plaît ?

-         Ohhh ouiiiiiiiiii……

J’ai trouvé son point faible. Je m’occupe de son clito plus vigoureusement et ralentit ma pénétration.

En moins de deux minutes, sa chatte ruisselle de liqueur, son corps se tend. Elle relève la tête, ouvre la bouche pour hurler son plaisir, mais aucun son ne parvient à sortir…

Elle retombe sur le bureau. Je me retire. Ma bite est « épuisée » mais j’ai atteint mon objectif. La petite stagiaire en a pris pour son grade….mais moi aussi.

Durant tout le reste de son stage, elle a joué avec moi. Tous les jours elle m’allume ouvertement, se frotte à moi, m’aguiche avec ses petits pieds… mais ce n’est que le soir, qu’elle ferme la porte à clés et que nous baisons comme des bêtes….

Nous voici maintenant à la fin de son stage. Le dernier jour, elle m’apporte un papier : l’évaluation du stagiaire par l’entreprise.

Elle pose le document devant moi, se faufile sous le bureau et entreprend une fellation monumentale. Apothéose : elle ne se retire à aucun moment et me vide entièrement les couilles directement au fond de sa gorge !!!! C’est divin !!!

Une fois la gâterie terminée, elle récupère son évaluation. J’ai honte, mais jamais je n’ai mis d’aussi bonne note pour un ou une stagiaire…. Les hommes sont faibles…

 

Franck L.

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : HISTOIRES - Communauté : pied collant culotte socks ..!
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Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 16:59

Voilà, j’ai quitté la colocation, plein de souvenirs en tête. Je m’installe donc dans un petit studio, tranquillement.

Et là, petit souci : impossible de faire fonctionner mon ordinateur !!! A chaque démarrage, ça plante. Ecran figé, plus rien ne fonctionne….la merde !!!

Par chance, la veille j’ai trouvé dans ma boîte aux lettres une carte de visite d’une boîte de dépannage informatique : DIF (Dépannage Informatique Fourtin). Le genre de truc qu’on regarde à peine et qu’on jette direct aux ordures.

Après quelques minutes à farfouiller dans ma corbeille à papier, je retrouve le carton en question. Une petite boîte, juste à côté de chez moi, qui prône un service impeccable, dans un temps record et à des tarifs inégalables !!!

Je me laisse tenter. Je téléphone et une femme me répond. Je lui explique mon souci et elle me propose de déposer mon équipement le jour même.

Je débranche donc tout le bordel et je me rends à l’adresse indiquée, à 5 minutes à pied.

En arrivant devant l’immeuble en question, je suis hésitant. C’est un simple immeuble de logement, je ne vois aucune enseigne de société, aucune plaque…

Je m’approche des sonnettes et sur l’une d’elle je vois le nom de la boîte, marqué à la main sur un papier autocollant… Je suis là alors autant aller jusqu’au bout.

Je sonne puis entre dans le hall de l’immeuble. Une porte s’ouvre au RdC sur ma droite. Une nana me fait entrer. En fait, il s’agit d’un appartement. La femme se présente. Elle s’appelle Jessica Fourtin et la société c’est elle….seulement elle…

Elle m’accompagne dans le séjour. Je lui explique mon problème. Elle prend ma tour et la branche sur son écran.

Elle est plutôt grosse, vêtue d’un jean’S et d’un t-shirt noir qui la serre au maximum. Son visage est pas trop mal, mais ses seins et son cul son énormes !!! L’ordinateur démarre…et plante. Elle se tourne vers moi :

-         Je vois le souci. Ça ne prendra pas longtemps. Environ 30 minutes. Si vous avez le temps, je le fais de suite.

-         Pas de problèmes. Ca m’arrange.

-         Ok. Installez-vous sur le canapé en attendant.

Je me pose et j’en profite pour détailler la pièce. Il fait très sombre. Il fait encore jour dehors en cette fin d’après-midi mais les rideaux sont tous tirés et seules les lampes éclairent la pièce.

Je la regarde et je vois que son haut remonte et laisse apparaître son string qui ressort du jean’S. Jamais je n’ai eu de relation avec une « grosse », mais elle dégage quelque chose de sensuel. Sa peau est bronzée, ses cheveux sont blonds, elle porte sûrement des mi-bas sous son pantalon. En tout cas, elle fait attention à son apparence et son maquillage est parfait. En bossant sur mon PC, elle met son doigt en bouche, sans y penser. Comme un geste habituel et inconscient.

-         Tout se passe bien ?

-         Oui, aucun problème mais je retrouve plus mon logiciel… Dans la chambre !!!

Elle se lève et se précipite vers l’autre pièce. Lorsqu’elle revient, je vois sa poitrine qui bouge beaucoup. Je crois bien qu’elle ne porte pas de soutien-gorge… Son gros cul se pose sur la chaise et le string remonte encore plus !!!

Malheureusement, je ne pensais pas rester sur place et une envie pressante s’empare de moi. Je me lève et demande.

-         Excusez-moi, je peux utiliser les toilettes ?

-         Bien-sûr. Dans le couloir, juste à gauche de l’entrée.

-         Merci.

Je me dirige donc vers la salle de bains. Une fois mon affaire réglée, je ne peux m’empêcher de fouiner un peu. Au-dessus de la baignoire, du linge est en train de sécher. Immédiatement, mon regard se porte sur les sous-vêtements. Je trouve là de splendides petites culottes en dentelles, roses, noires, rouges… et des soutifs gigantesques !!!! J’en décroche quelques uns pour les toucher. En un instant, ma bite se réveille. Je ne tiens plus. Je renifle ses petites culottes, les frotte sur mon corps…

J’en aperçois une particulière, en dentelle blanche, avec un petit nœud sur le devant. Je m’en empare et la glisse dans ma poche… Ma bite va exploser.

Je ressors et retourne au salon. Et là je reste scotché. Je n’y avais pas pensé !!! L’ordi semble réparé et elle est en pleine contemplation des photos des femmes nues avec lesquelles j’ai couché !!!

Elle m’entend et se retourne. Nullement surprise, ni gênée ou choquée, elle me lance :

-         Vous avez l’air de bien vous amusez…. Une jolie collection…

-         Euhhh…

-         Des femmes, des jeunes filles, même des trans !!!

Je ne sais pas quoi dire. Je suis foutu.

-         Les photos sont pas mal en plus….

Elle se tourne à nouveau et continue de regarder. Elle arrive alors sur les photos de lingerie souillée…

-         Oh oh… Un peu fétichiste en plus… Dans la salle de bains… Elles vous ont plu mes petites culottes ? Vous êtes un vrai pervers !!!

Elle se lève, s’approche de moi et se presse contre mon corps.

Ses seins sont lourds… appétissants…

Sa main se pose sur ma fesse, rentre dans la poche de mon pantalon et sors la petite culotte volée.

-         Pris la main dans le sac !!!

-         En fait, je voulais…

-         Rien du tout ! Un pervers !! Voilà ce que vous êtes !!

-         Je suis désolé, je…

Soudain, son ton change complètement.

-         Il ne faut pas être désolé. Vous allez vous racheter, j’en suis sûre…

Elle s’approche à nouveau et sa main se pose sur ma poche…directement sur l’appareil photo. D’un geste rapide, elle le sort.

-         Toujours équipé… Ca me donne des idées.

Sans prévenir, elle m’attrape les couilles, puis remonte sur mon membre.

-         Et toujours prêt…

Elle me pousse assez fortement et me dit sur un ton sûr :

-         Déshabillez-vous.

-         Mais je…

-         Déshabillez-vous…

J’obéis. Ma chemise vole, mon pantalon également et mon caleçon se retrouve propulsé en l’air avec mes chaussettes. Me voilà à poil, la queue raide et l’air un peu honteux.

-         Bien…. J’aime les belles bites… J’ai envie de jouer.

Elle me tend l’appareil photo et commence à se caresser. D’abord les seins, puis ses mains descendent vers ses cuisses et passe entre ses jambes. Ses mains remontent et, dans le même mouvement, enlève son t-shirt.

Je découvre alors comme une nuisette noire avec de la dentelle blanche… voilà pourquoi ses mamelles ballotaient tant…

Sans perdre un instant, elle fait tomber le pantalon. Surprise : elle porte de jolis bas sexy et un string noir transparent…

Elle se dandine, danse tout en se caressant…langoureusement… Parfois, elle porte un doigt à ses lèvres et le lèche goulûment…

-         Vous n’utilisez pas votre appareil ? Devenu timide ?

Elle se met à quatre pattes et me tourne le dos… Elle présente son gros cul à l’objectif.

JESSICA 03Ma bite est gonflée au maximum !!!

La ficelle du string disparaît entre ses fesses…

Elle tire dessus et sa chatte apparaît peu à peu…

-         Dans le tiroir de gauche… Je veux mon jouet…

Je fouille dans ledit tiroir et j’en sors un long gode transparent…

-         Frottez-le sur cette grosse queue…

-         Avec joie…

Je passe l’objet sur ma verge enflammée et je le lui lance. Elle le porte immédiatement à sa bouche en poussant de longs gémissements….

-         Mmmmh….Mmmmmmh… C’est bon…

Le gode passe très vite sur sa vulve. Elle se caresse de plus en plus vite, ses mamelles ont du mal à rester en place dans la nuisette…

J’arrive à prendre la photo juste avant que l’objet ne disparaisse dans sa chatte juteuse…

JESSICA 01Elle me regarde droit dans les yeux…

-         Alors monsieur le pervers ? Je vous excite ? Elle vous plaît la grosse….

-         De plus en plus…

Quelle chienne, une vraie cochonne !!!

Elle se met à quatre pattes à nouveau et se dirige au centre de la pièce. Elle balance son « jouet » sur le canapé, ôte à moitié son string et me dit :

-         Il faut tirer dessus…

Je saisis les ficelles et lui enlève son string. Au passage j’attrape son pied et le porte à ma bouche pour le sucer à travers les bas.

Quel plaisir… Elle se laisse faire un moment puis me repousse, écartes ses cuisses, me présente sa chatte ruisselante mais superbe :

-         Léchez-moi…. Bouffez-moi la chatte !!!

Je prends une autre photo et j’enfouis mon visage dans son sexe !!!
JESSICA 02Elle m’inonde de liqueur.

Son sexe est délicieux…De belles lèvres, un clito gonflé à bloc et pas de poil… Je lui obéis et bouffe cette chatte si généreuse !!!

Ses mains se posent dans mes cheveux et elle enfonce littéralement mon visage entre ses cuisses.

Elle hurle :

-         AHHHH OUI !!!! BOUFFEZ-LA !!!! ENCORE !!!!

J’ai du mal à respirer tellement ma tête est enfoncée dans sa chatte….mais je ne perds pas une goutte de son jus et ma langue s’acharne sur son gros clito !!!

Elle explose de jouissance et de petits jets de cyprine se déversent dans ma bouche…

Je me libère enfin pour reprendre mon souffle…

Elle se lève, me prend par la main, m’entraîne dans la chambre. Elle se glisse sur le lit (dont la couette est particulièrement laide avec ses couleurs pastels démodées…) et se positionne devant moi, cul vers moi pour une levrette enflammée :

-         Maintenant….DEFONCEZ-MOI !!!

Je me mets à genoux, la pénètre dans un grand coup de bite. Directement, sans aucune délicatesse… Elle étouffe ses cris en se mordant la main.

Moi je la besogne encore et encore, comme un animal…de plus en plus vite…de plus en plus fort !!! Elle craque… Je les sens. Elle n’oppose aucune résistance : ses forces l’abandonnent.

Le sentiment du devoir accompli, je me retire et lui éjacule tout mon foutre sur ses deux orifices….

Elle respire fortement. J’aperçois sa main sur laquelle on voit les traces de morsures qu’elle s’est infligée.

Avant qu’elle ne reprenne ses esprits je m’autorise un gros plan de sa vulve souillée.

JESSICA 04Dans un murmure :

-         Bien Monsieur le Pervers… Votre ordinateur est réparé. Je pense que je vous fais cadeau de l’intervention.

Un peu abasourdi, je me rhabille, prends ma tour et m’en vais. En partant, elle me lance encore :

-         Si vous avez d’autres problèmes, n’hésitez pas….

Oh non. Je n’hésiterais sûrement pas…

Franck L.

Par FRANCK LESTAT - Publié dans : HISTOIRES - Communauté : amoureux des rondeurs
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